Marika communication - Interviews auteurs2023-12-18T13:01:29+01:00urn:md5:f7524f8965422657595e047a5c016b53DotclearNicolas Bourgoinurn:md5:bc4ee09f8a88060223db904cd714044d2020-02-21T10:07:00+00:002020-02-21T10:07:00+00:00Marika DauresInterviews auteursBOURGOIN <p><strong>- Comment vous est venue l’envie d’écrire ?</strong></p>
<p><em>D'abord à force de lire, je suis un très gros lecteur. Ensuite, le fait d'avoir écrit des livres scientifiques : je voulais m'essayer à un nouveau genre.</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Comment de temps cela vous a-t–il demandé pour l’écriture de votre livre ?</strong>
''
Le dernier : 3 mois environ.''</p>
<pre></pre>
<p><strong>- Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre ?</strong></p>
<p><em>Une envie de revisiter par la fiction les années 50, une époque que j'adore</em></p>
<p><strong>- Est-ce votre 1er livre ?</strong></p>
<p><em>Non</em></p>
<p><strong>- Que représente l’écriture pour vous ?</strong></p>
<p><em>Une forme d'évasion, un moyen de me projeter dans un monde parallèle et d'inventer des personnages</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Quelle a été votre ou vos source(s) d’inspiration ?</strong></p>
<p><em>Multiples : l'Histoire, l'actualité politique, les films et les romans</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Avez-vous de nouveaux projets d’écriture ?</strong></p>
<p><em>Oui, une fiction située en 2008, à l'époque de la crise des subprimes</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Quand écrivez-vous ? Des horaires ?</strong></p>
<p><em>Le soir après dîner</em></p>
<p><strong>- Qui étaient, ou qui sont vos auteurs favoris ou de référence ?</strong></p>
<p><em>Patrick Modiano et Pierre Drieu la Rochelle</em></p>
<p><strong>- Si je vous demande quel est votre premier souvenir en tant que lecteur, ou le plus marquant, quelle est l’image qui vous vient en tête?</strong></p>
<p><em>Moi en train de pleurer après avoir lu la fin de "Tom et le jardin de Minuit"</em></p>Jean-Pierre DRUELLEurn:md5:de4ad7027894ff7f61bc7ee3f7c3e4eb2020-02-21T09:55:00+00:002020-02-21T09:55:00+00:00Marika DauresInterviews auteursDruelle <p><strong>- Comment vous est venue l’envie d’écrire ?</strong></p>
<p><em>Seulement pour prouver à certaines personnes qui se croient au dessus des autres, que je pouvais moi aussi écrire des histoires.</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Comment de temps cela vous a-t–il demandé pour l’écriture de votre livre ?</strong></p>
<p><em>Je l'ai écrit en un an et demi par intermittence.</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Est-ce votre 1er livre ?</strong></p>
<p><em>Oui c'est le premier.</em></p>
<p><strong>- Que représente l’écriture pour vous ? </strong></p>
<p><em>Une délivrance, un défoulement, mais aussi une façon de m'éloigner de la grisaille de la vie qui nous entoure en m'intégrant dans la peau de mon héros.</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Quelle a été votre ou vos source(s) d’inspiration ?</strong>
''
L'histoire de France et ses énigmes et la fiction.''</p>
<pre></pre>
<p><strong>- Avez-vous de nouveaux projets d’écriture ?</strong></p>
<p><em>Je suis en train d'écrire la suite des aventures du commissaire Xavier Akker Teffen et son équipe , toujours avec beaucoup d'humour, du suspense, et de la sensualité.</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>- Quand écrivez-vous ? Des horaires ?</strong></p>
<p><em>J'écris à chaque instant libre de la journée en prenant des notes et plus sérieusement le soir , de 22 heures à 2 heures du matin.</em></p>
<p><strong>- Qui étaient, ou qui sont vos auteurs favoris ou de référence ?</strong></p>
<p><em>Frederic dard et Agatha Christie.</em></p>
<p><strong>-Si je vous demande quel est votre premier souvenir en tant que lecteur, ou le plus marquant, quelle est l’image qui vous vient en tête ?</strong></p>
<p><em>Filmer en lisant les actions du livre, dans ma tête, et en trois, les voyages les lieux et les sites et leur décors.</em></p>Corinne Falbet-Desmoulinurn:md5:fb31664ab7b361c2b023bd266bc84dab2019-05-02T18:18:00+01:002019-05-02T18:18:00+01:00Marika DauresInterviews auteurs <p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Corinne_Falbet-Desmoulin.JPG" alt="Corinne Falbet-Desmoulin.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="Corinne Falbet-Desmoulin.JPG, fév. 2019" /></p>
<p>Editions BoD</p>
<p>__Bonjour Corinne,
Ma première question est : Comment vous est venue l’envie d’écrire ?__</p>
<p>J’ai toujours écrit. Enfant, je mettais spontanément des mots sur des airs que j’inventais et j’écrivais des poèmes. J’ai continué à écrire à l’adolescence, réalisant mon premier recueil de poèmes. Un peu plus tard, étudiante à l’École normale d’instituteurs de la Gironde, j’ai créé un album pour enfants. Puis, afin de surmonter l’une des périodes les plus difficiles de ma vie, j’ai naturellement écrit des chansons intimistes, que j’accompagnais au piano. En 2013, après un travail d’écriture en ligne, j’ai découvert le plaisir d’inventer des nouvelles, un genre littéraire particulier et pas toujours bien connu.</p>
<p><strong>Combien de temps cela vous a-t –il pris pour l’écriture de Singulières ?</strong></p>
<p>Environ un an et demi.</p>
<p><strong>Qu’est-ce qui vous a poussée à écrire ce livre ?</strong></p>
<p>En 2015, j’ai commencé à participer à des concours de nouvelles.
À ma grande joie, mes textes ont très vite remporté des prix littéraires (dont le Prix Écriture d’Azur 2015). C’est ce qui m’a encouragée à créer mon premier recueil Singulières.</p>
<p><strong>Pourriez-vous m’en dire un peu plus à propos de votre livre et expliquer à qui il s’adresse ?</strong></p>
<p>Singulières est un recueil de quinze nouvelles autour du thème des femmes. J’ai aimé explorer différents univers qui sortent de l’ordinaire, dans lesquels je propose une réelle évasion en quelques minutes. C’est l’avantage des textes courts comme les nouvelles. Mes lecteurs me disent que les miennes happent tout de suite, tiennent en haleine par leur suspense et possèdent des chutes toujours surprenantes, qui permettent parfois une seconde lecture avec un autre éclairage. Singulières s’adresse à tous à partir d’environ 15 ans.</p>
<p><strong>Connaissez-vous déjà la fin de chaque texte ou laissez-vous évoluer vos personnages ?</strong></p>
<p>Lorsque j’écris, je dis que je suis « en création ». C’est un état particulier, dans lequel je suis entièrement connectée à mon idée et mes personnages. Généralement, je me laisse guider par eux. Les idées viennent naturellement ; c’est comme une continuité fluide dans la création. Mais il arrive que pour certains textes, je connaisse la chute dès le départ.</p>
<p><strong>Il y a-t-il des personnages qui existent vraiment, dont vous vous êtes inspirée ?</strong></p>
<p>Tout à fait. Je mets également souvent un peu de moi dans mes récits.</p>
<p><strong>Où peut-on se procurer votre livre ?</strong></p>
<p>On peut l’acheter sur le site de mon éditeur BoD qui possède une librairie, dans toutes les librairies en ligne, AMAZON, FNAC…etc ET dans toutes les librairies « physiques » en commande via le distributeur SODIS.
Dans ma ville à Léognan (33), il se trouve à la Maison de la Presse et à l’Espace culturel de Leclerc.
On peut également me contacter via mon site internet pour une dédicace : http://monaventurelitteraire.fr</p>
<p><strong>Est-ce votre 1er livre ?</strong></p>
<p>C’est mon premier livre édité.</p>
<p><strong>Que représente l’écriture pour vous ?</strong></p>
<p>Pour moi, écrire est avant tout un plaisir. J’adore les mots, leurs sonorités, leur pouvoir évocateur. Ils coulent d’abord de mon cœur et mon cerveau jusqu’à mes doigts sur le clavier de l’ordinateur, puis je prends le temps de ciseler mes phrases, comme un sculpteur avec sa matière, afin que chaque mot trouve sa juste place.
L’écriture me permet aussi de me surprendre moi-même, de me surpasser : par exemple, suis-je capable d’écrire un texte sensuel ou bien humoristique ?…</p>
<p><strong>Quelles ont été vos sources d’inspiration ?</strong></p>
<p>Mes sources d’inspiration sont multiples. Parfois une phrase vient, qui sera la première de mon texte et entraînera les autres. Parfois un titre. Cela peut être aussi un tableau qui m’a marquée. Un thème imposé dans un concours de nouvelles, qui m’inspire, ou un autre que j’ai envie d’explorer. Ou encore une situation que j’ai réellement vécue ou observée.</p>
<p><strong>Avez-vous de nouveaux projets d’écriture ?</strong></p>
<p>Encouragée par l’accueil des lecteurs et par de nouveaux prix littéraires (dont le Prix Gérard de Nerval de la Nouvelle 2016 d’une valeur de mille euros et le Prix Clair de plume 2017 organisé dans le cadre du Festival du Livre de Sète Les Automn’halles), j’ai écrit deux autres recueils de nouvelles après Singulières : Insolites en 2017 (sur les thèmes de l’amour et l’amitié) et Atypiques en 2018 (sur le thème de la famille).
Pour les lecteurs désirant découvrir l’ensemble de mon œuvre, les trois recueils sont regroupés (à un prix abordable) dans l’Édition spéciale Singulières-Insolites-Atypiques, récemment publiée. Un article élogieux vient de paraître à ce propos dans le journal Sud Ouest, intitulé : « Trilogie de nouvelles vives et subtiles ».
Actuellement, j’ai commencé l’écriture d’un roman à suspense. J’ai à cœur d’y transmettre des messages d’espoir dans des situations difficiles, de respect, de bienveillance.</p>
<p><strong>Quand écrivez-vous ? Des horaires ?</strong></p>
<p>J’écris souvent le soir. Mais lorsque je suis totalement prise dans une histoire, je peux écrire deux ou trois jours d’affilée. C’est mon mari qui s’occupe alors de l’intendance du quotidien !…</p>
<p><strong>Quelles étaient les lectures de votre enfance ?</strong></p>
<p>Elles étaient très variées et très nombreuses. Pour en citer quelques-unes, je peux parler des livres à la mode dans les années soixante-dix : La Comtesse de Ségur, Les Contes du Chat perché, la série des Martine…</p>
<p><strong>Quels sont vos coups de cœur littéraires ?</strong></p>
<p>Des ouvrages qui incitent au travail sur soi, comme « L’alchimiste » de Paulo Coelho, « Le messie récalcitrant » de Richard Bach ou « Méditer jour après jour » de Christophe André. Sinon, pour les nouvelles, je dois citer « Silhouette » de Jean-Claude Mourlevat: des textes vraiment très bien construits, dans des ambiances d’humour noir (oui, j’apprécie aussi…cf mon récit « Infidèle » dans mon dernier recueil Atypiques).</p>Ines DELAJOIEurn:md5:6bd8850c08a86767826f5115d9679f8b2019-05-02T18:08:00+01:002019-05-02T18:08:00+01:00Marika DauresInterviews auteurs <p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Ines_DELAJOIE_m.jpg" alt="Ines DELAJOIE.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="Ines DELAJOIE.JPG, fév. 2019" /></p>
<p><em>éditions BoD ( 2018)</em></p>
<p><strong>Bonjour Inès Delajoie, pouvez-vous vous présenter ?</strong></p>
<p>Je suis une grande lectrice qui écrit aussi depuis longtemps. Mes enfants sont devenus de jeunes adultes, j’ai maintenant plus de temps pour me consacrer à l’écriture tout en continuant d’exercer à temps partiel mon métier de professionnelle de santé. Mon inspiration s’enrichit beaucoup de mes rencontres.</p>
<p><strong>De vos personnages du « Couvent des Cyprès » émanent une bonne humeur certaine, pourquoi ?</strong></p>
<p>J’aime faire vivre, dans une écriture soignée, la joie et l’interaction positive entre les êtres. Transmettre une grande positivité de vie à mes lecteurs qui portent parfois des lourds fardeaux me semble important.Ils ont besoin de se distraire, de s’évader vers du bonheur. Même si les aventures et les péripéties se succèdent dans mon roman, comme dans toutes nos existences d ‘ailleurs, j’estime qu’ une bonne lecture doit laisser des traces de paix et de vitalité… et donc mes histoires se terminent bien ! (rires).</p>
<p><strong>Pensez-vous continuer à écrire la suite de la vie de vos héros ?</strong></p>
<pre></pre>
<p>Oui, bien sûr ! « Les chemins de Mérincourt », c’est le premier tome du « Couvent des Cyprès » et ce livre met en scène de multiples personnages de tous âges, leurs parcours vont évoluer… Le second tome paraîtra sous le titre « Les Glycines de Fourvière ». Au fur et à mesure de l’écriture, j’enrichis mon récit et invite ainsi mes lecteurs à vivre de nouvelles aventures au travers de mes personnages…</p>
<p>« Le Couvent des Cyprès » est disponible dans toutes les librairies (Distributeur SODIS, base DILICOM. prix 14 euros ) et sur les sites internet (e-book également) aux Éditions BoD.</p>Dominique UHLENurn:md5:154e5b9e88262f229d753fe0ed11f40c2019-04-18T13:37:00+01:002019-04-18T13:37:00+01:00Marika DauresInterviews auteursUhlen <p>Dominique UHLEN</p>
<p><strong>Comment vous est venue l’envie d’écrire ?</strong>
Toute petite déjà je racontais et je me racontais des histoires. J’avais une imagination débordante nourrie par la lecture et les voyages que nous faisions car mon père se déplaçait beaucoup et notre famille est dispersée en France et à l’étranger.</p>
<pre></pre>
<p><strong>Comment de temps cela vous a-t –il pris pour l’écriture de vos ouvrages :</strong>
Le premier ouvrage m’a pris plus de deux ans, c’est le livre de l’émotion et des souvenirs « l’adieu et les larmes » qui parle de ma relation fusionnelle avec ma sœur décédée et de sa fin de vie. J’ai beaucoup raturé si je puis dire car ce livre au départ a été un véritable exutoire pour crier ma colère…. Je m’étais livrée puis j’ai fait des pas en arrière, pudiquement…
Le second « Dis-moi si tu m’aimes » dormait dans mes tiroirs et le troisième a été écrit en 6 mois…. Je pense que 6 mois est ma vitesse de croisière…</p>
<p><strong>Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ces livres ?</strong>
Les émotions, l’envie de partage, mon imagination et le plaisir immense de l’écriture. Le choix des mots, des formules. L’écriture est une musique en tout cas je le ressens comme ça, de même que le bien parler… J’aime le « H » aspiré des Haricots, j’y tiens et ne digère pas lesharicots !!</p>
<p><strong>Pourriez-vous m’en dire un peu plus à propos de vos livres et expliquer à qui il s'adresse ?</strong>
« L’adieu et les larmes » est un livre intimiste qui s’adresse à des personnes ouvertes aux autres et aux émotions. Il évoque la maladie et la perte d’un être cher…. Mais pas que… il parle de la vie qui passe et qu’il faut croquer à pleines dents ! les autres ouvrages sont des romans, de la fiction… Ils mettent en exergue les travers de notre société. L’amour, pas forcément romantique, est omniprésent.</p>
<p><strong>Connaissiez-vous déjà la fin du livre ou laissez-vous évoluer vos personnages ?</strong>
Oui et non, au fil de l’écriture je peux changer la destinée d’un personnage parce que je ne ressens plus les mêmes choses au fil des évènements que mon récit décrit, comme dans la vie on ne prend pas toujours la direction que l’on avait envisagée… je vis mes personnages. Je me laisse porter.</p>
<p><strong>Il y a-t-il des personnages qui existent vraiment, dont vous vous êtes inspiré ?</strong>
Absolument même si ce qui leur arrive dans mes livres n’est pas tout à fait la vérité. Tout m’inspire : Une personne, un lieu, un évènement, une odeur…</p>
<p><strong>Quelle(s) difficulté(s) avez-vous rencontré pendant l’écriture de vos livres ? Comment les surmontez-vous ?</strong>
Je n’ai pas le souvenir de difficultés particulières, l’écriture coule naturellement, cela n’est pas prétentieux car un autre auteur pourrait, sur les mêmes idées, assurément raconter mieux que moi… Ma bête noire est plutôt l’orthographe qui est un exercice de style bien à part… Lorsque l’on écrit on ne fait pas une dictée, on conte… du coup il peut y avoir des erreurs… et ça je n’aime pas… déjà par respect pour le lecteur.</p>
<p><strong>Où peut-on se procurer votre livre ?</strong>
Oh comme j’aimerais pouvoir vous dire dans n’importe quelle librairie ! Ce n’est pas le cas d’une jeune auteure qui débute… Donc chez mon éditrice préférée Édition Passion du Livre - Marika DAURES, la Fnac, Amazon, Hachette, etc. et quelques libraires en Auvergne…</p>
<p><strong>Où en êtes-vous aujourd’hui ?</strong>
Je travaille sur le 4ième et je change encore de style puisqu’il fera écho à l’enfance d’une parente née dans les années 25. Là je vais prendre mon temps et souffler un peu.</p>
<p><strong>Que représente l’écriture pour vous ?</strong>
Une respiration, un défoulement, une nécessité… En tout cas cela m’est indispensable. J’écris des livres mais aussi des scénarios pour une entreprise auvergnate qui vend des week-end cinéma.</p>
<p><strong>Quand écrivez-vous ? Des horaires ?</strong>
J’écris tous les jours où presque, matin et après-midi, environ 5 heures par jour, quelque fois la nuit car elle est propice aux idées…</p>
<pre></pre>
<p><strong>Quelles étaient vos lectures enfant ?</strong>
J’ai bien sûr commencé par la bibliothèque rose et verte, puis rouge et or, puis les classiques vers 12 ans Victor Hugo, Maupassant, Balzac etc., et j’ai très vite jeté mon dévolu sur des ouvrages plus adultes… La lecture a été, est une véritable évasion et une source de réflexion.</p>Pascal SCHMITTurn:md5:758d63dd8e6019f2c0bbda0accd47ac02019-02-13T13:02:00+00:002019-02-13T13:04:25+00:00Marika DauresInterviews auteurs <p><strong>Comment vous est venue l’envie d’écrire ?</strong></p>
<pre></pre>
<p>A 12-13 ans j’écrivais des poèmes que je repris dans un recueil : Rémanence, illustré par mes photos, une passion née à la même période.
Je peins avec des mots car cet art me fait défaut.</p>
<p><strong>Comment de temps cela vous a-t-il prit pour l’écriture de : Woolf le chien qui savait lire.</strong></p>
<p>Un an, mais je travaille sur plusieurs romans en même temps. Lorsque j’ai des idées qui complètent les autres romans je note au fur et à mesure, il m’arrive d’écrire un poème entre-temps. J’ai dû me documenter ce qui m’a pris du temps, malgré mes bonnes connaissances de naturaliste.</p>
<p><strong>Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre ?</strong></p>
<p>A partir de 1982 j’ai été président d’une petite association de protection de la nature puis vice- président d’Alsace nature pendant 15 ans et à ce titre ai participé à de nombreuses commissions officielles et notamment j’intervenais en expert pour la faune à la commission préfectorale de la chasse et faune sauvage, j’y représentais mon association. Nous avons même réussi à annuler jusqu’en conseil d’état la liste des animaux nuisibles.</p>
<p><strong>Pourriez-vous m’en dire un peu plus à propos de votre livre et explique à qui il s'adresse ?</strong></p>
<p>A tous ceux qui aiment la faune sauvage, mais aussi l’homme avec ses relations avec la nature.</p>
<p><strong>Connaissiez-vous déjà la fin du livre ou laissez-vous évoluer vos personnages ?</strong></p>
<p>Oui la fin était évidente pour moi.</p>
<p><strong>Il y a-t-il des personnages qui existent vraiment, dont vous vous êtes inspiré ?</strong></p>
<p>J’observe les gens autour de moi et lors mes voyages notamment à l’étranger, mon âme y est profondément représentée.
Quelle(s) difficulté(s) avez-vous rencontré pendant l’écriture de ce livre ? Comment les avez-vous surmontées ?
Etre dans la peau d’un chien et réfléchir comme lui, avec son instinct, son odorat, ses réactions et non d’abord par la vue, utiliser un vocabulaire qui correspondait à la faune, donc je me suis interdit toute réflexion humaine et pourtant on retombe facilement dans les ornière de la pensée humaine.</p>
<p><strong>Où peut-on se procurer votre livre ?</strong></p>
<p>Chez mon éditeur qui est BoD mais également sur les plates-formes comme Amazone Fnac etc</p>
<p><strong>Est-ce votre 1er livre ?</strong></p>
<p>Non, c’est mon neuvième.</p>
<pre></pre>
<p><strong>Quelle a été votre ou vos source(s) d’inspiration ?</strong></p>
<p>Ma passion de toujours la nature et sa faune.</p>
<pre></pre>
<p><strong>Avez-vous de nouveaux projets d’écriture ?</strong></p>
<p>Oui, Nubia que je corrige actuellement, l’histoire d’une jeune archéologue.</p>
<pre></pre>
<p><strong>Quand écrivez-vous ? Des horaires ?</strong></p>
<p>La nuit dans ma tête. Mais c’est surtout le matin tôt, l’après-midi est consacré à taper ce que j’ai écrit et déjà le mettre en forme.</p>
<pre></pre>
<p><strong>Quelles étaient vos lectures de votre enfance ?</strong></p>
<p>Le grand Meaulnes, les contemplations de Victor Hugo, les récits d’aventures, de corsaires que je lisais au collège chez les curés car il y avait l’index le fameux W et aussi tout ce qui traînait comme toujours, réflexe que j’ai toujours encore.</p>
<p><strong>Quels sont vos coups de cœur littéraires ?</strong></p>
<p>Mon champ de lecture est vaste. J’ai bien aimé Le voleur d’ombres de Marc Levy, le Da Vinci Code, Le Kama-Sutra des demoiselles de Marc Giraud.</p>
<p><strong>Un livre fétiche que vous recommandez ?</strong></p>
<p>Le Grand Meaulnes, car il me rappelle mon enfance.</p>Christophe COQUINurn:md5:033cbb7d022ba1b072c85214cac3b8552019-02-01T17:36:00+00:002019-03-07T20:08:00+00:00Marika DauresInterviews auteursCoquin <p><strong>Interview de Christophe COQUIN Ed-BookEnvol (2018)</strong></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Christophe_Coquin1_m.jpg" alt="Christophe Coquin1.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="Christophe Coquin1.JPG, fév. 2019" /></p>
<p><strong>Bonjour Christophe: Comment vous est venue l’envie d’écrire ?</strong></p>
<p>Tout d’abord par l’envie d’écrire un témoignage paru il y a quelques années. Ensuite, l’envie est restée et j’ai écrit un premier roman, suivi d’Internés, mon premier polar. Puis, l’envie est devenue au fil des mots, des lignes et des pages, une nécessité. Le besoin est venu compléter l’envie.
Comment de temps cela vous a-t –il prit pour l’écriture de : Internés
Parler de « temps » ne serait pas tout à fait exact. En effet, il m’est très difficile d’écrire en dehors de certaines périodes. Non pas par manque de disponibilités, mais j’ai besoin d’une certaine ambiance pour créer. Et tout particulièrement l’ambiance silencieuse, froide et blanche de l’hiver ou de la fin de l’automne. Psychologiquement je n’arrive pas à écrire en dehors de cette période. En général, je pose les bases de mon roman, je commence les premières pages, puis je le laisse de côté jusqu’au prochain hiver. Là, je reprends l’écriture et en quatre mois, elle est terminée. Viens ensuite le temps de la relecture et la réécriture, ce qui prend autant de temps, mais là, pas besoin d’être en hiver puisque l’histoire est construite et finie.</p>
<p><strong>Qu’est-ce qui vous a poussé à écrire ce livre ?</strong></p>
<p>Tout simplement l’envie ! L’envie d’écrire un polar dont l’action se déroule à Bruxelles, ville qui m’a adopté et que j’ai adopté. Et puis, écrire un polar dans lequel on trouve quelques cadavres, permet d’extérioriser, sur le papier, certains sentiments trop noirs pour être extériorisés dans la vie de tous les jours.
Pourriez-vous m’en dire un peu plus à propos de votre livre et expliquer à qui il s’adresse ?
J’ai réalisé après avoir terminé l’écriture d’Internés que j’avais suivi, sans m’en rendre compte, un fil conducteur: les liens familiaux passés. Mais aussi l’enfermement réels ou psychologique duquel les personnages ne sont pas tous évadés.
Ce roman s’adresse à tous- enfants exceptés- à partir du moment où les lecteurs aiment les polars noirs et sordides mettant en scène des personnages torturés. Internés est la première enquête de Viktor Kurt retranscrite dans un roman. Elle sera donc suivie d’autres, car pour cet enquêteur, la mort, les cadavres mutilés, les assassins tortionnaires, font partie de sa vie. Ils sont son oxygène, sa raison de vivre.</p>
<p><strong>Connaissiez-vous déjà la fin du livre ou laissez-vous évoluer vos personnages ?</strong></p>
<p>Non, je ne connaissais pas la fin. Je savais simplement qui était « coupable », mais en écrivant les premiers mots, je n’avais aucune idée des derniers qui finiraient l’histoire et encore moins comment arriver à cette fin. Ce sont les personnages qui décident, peut être même avant moi, de ce qu’ils vont faire. Il m’arrive aussi de penser à des personnages, de les intégrer à l’histoire, puis en cours d’écriture, je décide de les enlever et de les remplacer par d’autres car ils m’ennuient ou m’emmènent dans des situations que je n’ai pas envie de vivre.</p>
<p><strong>Il y a-t-il des personnages qui existent vraiment, dont vous vous êtes inspiré ?</strong></p>
<p>Ecrire un roman est pour moi, écrire une tranche de vie, une biographie ponctuelle des personnages qui sortent tous de mon cerveau. Mais répondre à votre question, n’est pas aussi simple car les personnages n’existent pas physiquement mais plutôt psychologiquement, car je donne à certains un peu de moi même et surtout au personnage principal, Viktor Kurt. Viktor a beaucoup de points communs avec moi. A moins que ça ne soit moi qui ai beaucoup de points communs avec Viktor?</p>
<p><strong>Quelle(s) difficulté(s) avez-vous rencontré pendant l’écriture de ce livre ?</strong>
<strong>Comment les avez-vous surmontées ?</strong></p>
<p>La plus grande difficulté a été de sortir de l’histoire, me dire que ce n’était justement qu’une histoire, qu’un roman et pas la vie réelle. J’ai tellement plongé dans le monde de mes personnages qu’il m’a été très difficile de décrocher par moment. C’est peut-être pour cela que j’ai très vite entamé les bases du prochain roman afin de retrouver Viktor et une nouvelle enquête. Je suis devenu un Viktor Addict.</p>