Marika communication - Articles auteurs2023-12-18T13:01:29+01:00urn:md5:f7524f8965422657595e047a5c016b53DotclearRemy Belhomme- La Maman de Casaurn:md5:0d4fa5a17bc66fd086eff82a4cc6edca2023-09-26T20:16:00+01:002023-09-26T20:16:00+01:00Marika DauresArticles auteurs <p>Arrivé second à 4 contre 6 au prestigieux prix de l’autobiographie 2021 Jean-Jacques Rousseau</p>
<p>Rémy Belhomme, invité VIP au Salon du Livre de Monaco 2021 les 19 et 20 juin 2021</p>
<p>Proposé pour d’autres prix comme le prix « Maison Rouge » à Biarritz ou le prix « Meurice » à Paris…</p>
<p>« Lorsque j’ai posé le pied sur le quai je tenais à la main droite un minuscule ours en peluche habillé en cow-boy et à la bouche un accent du Midi qui pour un parisien des années cinquante frisait la pagnolade.</p>
<p>Le premier ne m’a jamais quitté et sa petite silhouette râpée trône encore avec bienveillance aux côtés d’autres trésors sur une étagère de ma chambre.
Le second m’a toujours accompagné avec discrétion, comme un accent bien élevé. Il a gentiment refait surface chaque fois que l’occasion s’est présentée de vider quelques verres avec mes amis du sud »</p>
<p>Ce n’est ni un conte, ni une tragédie, ni une comédie ; ce roman, c’est son histoire.<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Remy_Belhomme/1ere_de_couv-page-001.jpg" title="1ère de couv-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Remy_Belhomme/.1ere_de_couv-page-001_m.jpg" alt="1ère de couv-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="1ère de couv-page-001.jpg, sept. 2023" /></a></p>Géraldine BILLET-CHRISTINurn:md5:cef7bed527e5f26c4963817a127236db2020-12-11T08:58:00+00:002020-12-11T15:24:38+00:00Marika DauresArticles auteursBilletChristin <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP-_Dans_cette_vie_et_celle_d_apres-page-001.jpg" title="CP- Dans cette vie et celle d après-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP-_Dans_cette_vie_et_celle_d_apres-page-001_m.jpg" alt="CP- Dans cette vie et celle d après-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP- Dans cette vie et celle d après-page-001.jpg, sept. 2020" /></a></p>
<p><strong>Sortie en décembre 2020 :</strong></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/COUVERTURE_G-BILLET-CHRISTIN3.jpg" title="COUVERTURE_G-BILLET-CHRISTIN3.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.COUVERTURE_G-BILLET-CHRISTIN3_m.jpg" alt="COUVERTURE_G-BILLET-CHRISTIN3.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="COUVERTURE_G-BILLET-CHRISTIN3.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p>Merci à Carole Emery de ce retour de chronique.
Extrait de la chronique:
Un suspense avec une touche originale que je vous recommande.
Quand nous croyons que notre corps meurt et que notre âme renaît sous une autre forme, ça peut devenir inquiétant.</p>
<p>https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/12/dans-cette-vie-et-celle-d-apres-geraldine-billet-christin-librinova-par-carole-emery.html?utm_campaign=_ob_pushmail&utm_medium=_ob_notification&utm_source=_ob_email</p>
<p>https://l.facebook.com/l.phpu=https%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3D5HaJAw7cByo%26feature%3Dshare%26fbclid%3DIwAR0NmHCGcDapE6e8oSwalB2vcSEyt1ViJ8haOK8pBD_U1DK7Ppx2KzSgzuc&h=AT3MtNLcmS6kVpXTC8hDRR0J95_xVOX5yMFESV5rtC4wZ_ErodBOyKtyR0JpKiqFpSpntzSbeJmwrjuTmFtbE03nRhH7me0fZY9nVhdwswJpZB9kyYWn_8e5dlbKHCXKB9j0FihZnsoAg0Cfrri8lg</p>Laurent GRIMAurn:md5:4e2c4899edf89135e57d6d22617603f52020-12-08T10:28:00+00:002020-12-08T10:34:06+00:00Marika DauresArticles auteursGrima <h4>Laurent GRIMA sélectionné parmi les 5 finalistes du Prix des Auteurs Inconnus 2019 !</h4>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_2_Laurent_Grima-page-001.jpg" title="CP 2 Laurent Grima-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_2_Laurent_Grima-page-001_m.jpg" alt="CP 2 Laurent Grima-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP 2 Laurent Grima-page-001.jpg, déc. 2019" /></a></p>
<p>https://www.babelio.com/livres/Grima-Les-trois-vies-de-lhomme-qui-nexistait-pas/1155906</p>
<p>Le narrateur n’a pas été déclaré à l’état-civil. Comme son père avant lui, il n’existe pas… pour la loi, Mais son père lui a transmis l’essentiel : la bonté, la tolérance, la débrouillardise, l’optimisme, la générosité.... Ce roman contient plusieurs vies. Certains passages sont drôles.</p>
<h5><strong>Note moyenne : 4.58/5</strong></h5>
<p>Merci Virginie Rebujent de ton interview dans ton émission de Laurent Grima, car je sais que tu es très sélective dans tes choix.
Une petite chaîne qui monte....qui monte....
Livre et partage: Les nouveaux auteurs</p>
<pre>
https://www.youtube.com/watch?v=esFYReEzUZ8</pre>
<p><strong>Blog de l'émission littéraire A L' ECOUTE DES LIVRES diffusée sur Radio Massabielle par Roland Francoise que je remercie.</strong></p>
<p>http://alecoutedeslivres.over-blog.com/2020/04/le-livre-du-jour-les-trois-vies-de-l-homme-qui-n-existait-pas.html</p>
<p><strong>Retrouvez À L' ÉCOUTE DES LIVRES chaque mercredi à 18h30 sur Radio Massabielle (97.8 Mhz et 101.8 Mhz)</strong></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/3eme_Prix_Laurent_-page-001.jpg" title="3ème Prix Laurent -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.3eme_Prix_Laurent_-page-001_m.jpg" alt="3ème Prix Laurent -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="3ème Prix Laurent -page-001.jpg, déc. 2020" /></a></p>Brigitte LAJONIEurn:md5:01575e653cdf7d2c19a1c62a7d4c49b42020-12-08T08:06:00+00:002020-12-08T10:35:32+00:00Marika DauresArticles auteursBrigitteLajonie <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Des_larmes_de_papier_couverture_ebook__3_.jpg" title="Des larmes de papier couverture ebook (3).jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Des_larmes_de_papier_couverture_ebook__3__m.jpg" alt="Des larmes de papier couverture ebook (3).jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Des larmes de papier couverture ebook (3).jpg, mai 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Brigitte_Lajonie-page-001.jpg" title="CP Brigitte Lajonie-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Brigitte_Lajonie-page-001_m.jpg" alt="CP Brigitte Lajonie-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Brigitte Lajonie-page-001.jpg, mai 2020" /></a></p>
<h5>En lice pour le Prix du 1er Roman de Draveil</h5>
<p>Brigitte Lajonie- Auto -Edition AMAZON</p>
<p><strong>Extrait du livre:</strong></p>
<p>Février 1994. Le jour déclinait rapidement en cette fin d’après-midi de février. Le clair-obscur enveloppait la ville comme un voile soyeux. Quelques lumières brillaient déjà. La nuit ne tarderait pas à tomber. La jeune femme était toujours au même endroit. Le temps semblait n’avoir aucune prise sur elle. Elle laissait passer les heures, assise à même le sol, le dos calé au mur, sans bouger, sans parler, totalement absorbée par sa lecture. Il lui arrivait de lever des yeux inquiets lorsque le tintement de la porte d’entrée résonnait dans le silence quasi religieux du lieu. Elle se repliait encore plus, comme si elle voulait se fondre totalement dans le décor afin que sa présence passe totalement inaperçue. Ernest lui aurait bien proposé de s’installer sur l’un des vieux fauteuils élimés, encore confortables au demeurant, qui traînaient çà et là, mais elle paraissait si inaccessible, si seule. L’endroit avait l’air de lui plaire. Il y régnait une chaleur douce et enveloppante qui atténuait l’air vif et glacial d’un hiver londonien qui semblait ne jamais vouloir finir. Au début, il ne lui avait pas vraiment prêté attention. Les gens venaient dans sa boutique souvent par curiosité, certains par amour des livres, de la belle littérature intemporelle. Ils s’installaient sur les vieux fauteuils, pour découvrir le dernier roman sorti ou relire quelques pages d’une ancienne édition qui émergeait à leur souvenir. Par la suite, il s’était étonné de sa présence quotidienne, depuis presque deux semaines. Discrètement, il lui arrivait de se tordre le cou pour l’observer à son insu derrière son vieux bureau en chêne sombre qui lui servait de caisse, mais jamais il ne s’était risqué à l’interpeller de peur peut-être de la voir fuir. Il l’observait par-dessus ses lunettes. Elle était jolie. Pas très grande ! Tout au plus un mètre soixante-cinq, plutôt mince. Quel âge pouvait-elle avoir ? D’où venait-elle ? Il ne l’avait jamais vue auparavant. Elle aiguisait sa curiosité de vieil homme solitaire. Peut-être travaillait-elle de nuit ? De longs cheveux blonds où brillaient quelques mèches vénitiennes lui tombaient jusqu’aux reins. Lorsqu’elle relevait de sa main fine une mèche tombante il pouvait apercevoir le gris vert de ses yeux. Quelquefois leurs regards se croisaient. Aujourd’hui il s’était même risqué à lui sourire. Elle avait aussitôt baissé les yeux. Après tout elle ne le dérangeait pas, il avait l’habitude que des passionnés viennent faire une parenthèse, au calme, dans sa librairie. Avec le temps, ce book-store à la devanture vert foncé avait fini par lui ressembler… atypique, complètement en décalage avec la vie trépidante de Londres, un décor que l’on imaginerait aujourd’hui tout droit sorti d’un film de Harry Potter, où régnait une odeur rassurante mêlée de bois et de papier. Des rangées de livres du sol au plafond, une variété d’ouvrages époustouflante dont lui seul connaissait l’emplacement. Le tout Londres le connaissait. Si vous recherchiez un ouvrage, un titre, un auteur, c’était au « Attic Books» qu’il fallait venir. Ernest était, à lui seul, une encyclopédie vivante, riche de culture, de voyages et d’histoire. Au fil des années, il avait fait de ce lieu un véritable musée des lettres, regorgeant de rares trésors pour les amoureux de la langue de Shakespeare. À première vue aucun classement particulier, mais il était capable de vous dénicher parmi tous ces livres, l’œuvre que vous recherchiez. Il aurait été bien mal aisé de déterminer la surface de ce temple dédié aux mots. C’était un labyrinthe de petites pièces, délimitées par des murs de livres et de belles poutres de bois sombre, où livres neufs et d’occasion s’entremêlaient dans de longs monologues. Pièces de théâtre, comédies, romans policiers, épopées historiques, intrigues, histoires d’amour ou biographies, tous les genres littéraires se côtoyaient. Des échelles de bois coulissantes permettaient d’accéder aux ouvrages des niveaux supérieurs. Dans un recoin, on pouvait apercevoir un piano qui avait appartenu à sa femme et qu’il mettait un point d’honneur à accorder chaque début d’année. Une vieille machine à écrire traînait sur un bureau encombré, escortée de quelques crayons et carnets, destinés à qui souhaitait prendre des notes. Un lieu magique, hors du temps, où flottait un parfum d’antan, où le temps semblait s’être arrêté, où le respect des auteurs était le maître mot. Ernest était chez lui, souverain en son royaume. Au fil des jours, il s’était habitué à sa présence et se surprenait à l’attendre… Il regardait impatient sa vieille horloge en bronze… Et si elle ne venait pas aujourd’hui ? « Stupide bonhomme, te voilà en train de divaguer… ce n’est qu’une enfant ! La solitude te pèse-t-elle à ce point ? se dit-il. Tu te fais vieux ! Ou trop curieux peut-être ! Allons, allons reprends-toi Ernest ! » Contre toute attente, cette présence silencieuse venait bousculer sa routine, son quotidien solitaire. Le tintement du carillon de la porte le fit sourire. Il jeta un coup d’œil au cadran : quatorze heures ! Pile à l’heure ! Il aimait les gens ponctuels… Décidément, cette jeune femme lui plaisait vraiment ! L’air vif hivernal s’engouffra lorsque la porte s’ouvrit laissant un soupçon de parfum dans le sillage de la jeune femme. Elle le salua d’un léger mouvement de tête, et se dirigea sans bruit vers une petite alcôve où elle se réfugiait depuis le premier jour. Elle rechercha en vain le livre qu’elle avait commencé la veille. Un client avait dû l’acheter le matin. Embarrassée, elle risqua un regard vers le vieil homme… Ce dernier à sa grande surprise, semblait s’amuser de la situation. Un sourire malicieux sur les lèvres, les sourcils levés, il lui fit signe de s’approcher.</p>
<p>- Est-ce ce livre que vous cherchez Mademoiselle ? lui dit le libraire en lui tendant un manuscrit à la couverture bleu roi… Très bon choix ! Mais vous allez être déçue… vous ne connaîtrez pas la fin. En effet l’auteure ne l’a jamais écrit, ou tout du moins si elle l’a fait, car c’est une femme, le dernier volet de cette trilogie celte n’a jamais été publié. Je vous ai mis de côté le second tome au cas où vous passeriez encore un peu de temps avec nous, rajouta-t-il, un sourire dans les yeux.</p>
<p>- Je vous remercie, répondit-elle avec un léger accent.</p>
<p>- Je vous en prie ! Il me semble que vous seriez mieux installée dans ce fauteuil que je vous ai avancé. Il n’est plus très jeune, comme moi d’ailleurs ! Mais vous verrez, vous vous y sentirez bien. Je vous souhaite un bon moment, Mademoiselle. Avec un sourire timide, elle le remercia. Elle n’était donc pas anglaise ! Française, certainement ! Il aurait pu y penser au regard de l’édition qu’elle avait choisie ! Mais dans un premier temps il avait songé à une étudiante. Ne dit-on pas que le meilleur moyen de se familiariser avec une langue étrangère est de la lire ? En entendant sa voix, son cœur s’était mis à battre plus fort dans sa poitrine… Il aurait reconnu entre mille cet accent si cher à son cœur. Sa défunte épouse était originaire de l’autre rive du Channel. II y avait si longtemps…</p>
<h4>Retour de chronique :</h4>
<p>Le commentaire de Carole : COUP DE COEUR!</p>
<p>Une histoire magnifique, qui nous fait découvrir la vie d'Émilie qui au premier abord nous semble bien ordinaire, mais qui cache des moments qui ne laissent pas indifférents. J'apprécie au plus au point ce style d'écriture dont les mots s'imbriquent l’un dans l'autre, qui rend l'histoire véridique et captivante. L'auteur a une plume fluide, plaisante et nous suivons le fil de l'histoire comme une ballade au printemps. Émilie a 20 ans, elle a fui la France pour se retrouver à Londres, la chance lui a souri elle a rencontré Ernest, un vieux libraire sympathique, qui l'a prise en charge. Tout de suite, nous sommes transportés 20 ans plus tard, Émilie a hérité de la librairie, elle est marié à John et ont une fille de 13 ans prénommée Mallorie. Par ailleurs, nous allons connaître Léo, jeune stagiaire qui va passer 14 semaines dans la famille d'Émilie. Une belle synergie s'installe avec Émilie ainsi qu’avec Brian qui travaille à la librairie, une complicité hors pair avec Mallorie, quant à John, il apprécie la présence d'un autre homme à la maison. Léo, est ravi, il a l'impression d'avoir une deuxième famille, tellement il se sent bien. Jusqu'ici, l'histoire vous semble simple, mais attention l'intrigue s'installe et vous allez tomber sous le charme de ce roman. Il y a un sentiment ambigu qui va s'installer au fond du cœur d’Émilie, envers Léo. Elle en est bouleversée, elle ne veut pas être cataloguée de Cougar, mais elle sait que ce n'est pas un sentiment charnel, c'est quelque chose qu'elle ne peut décrire. Son amie Sarah, à qui elle se dévoile un peu, va lui conseiller un thérapeute qui va l'aider à trouver la lumière face à cette situation. Le développement se passe rapidement et il n'était pas question de mettre le livre de côté pour faire autre chose. Une fin bien équilibrée, qui m'a émue, mais mes larmes n'étaient pas en papier.</p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/07/des-larmes-de-papier-brigitte-lajonie-auto-edition-par-carole-emery.html</p>
<p>ARTICLE sur https://www.bergerac.fr/des-larmes-de-papier-le-premier-roman-de-la-bergeracoise-brigitte-lajonie/</p>
<p>Des Larmes de Papier est disponible sur BERGERAC (24)</p>
<p>- La Colline aux Livres,</p>
<p>- au Tabac-Presse du Faubourg de la Madeleine,</p>
<p>Et sur Amazon et Kindle. Le tarif est de 15 euros.</p>
<p>Brigitte Lajonie s’apprête aussi à arpenter les salons du livre pour faire la promotion de son ouvrage et sera présente au salon du livre de Buzet sur Baïse (47).</p>
<p>https://www.facebook.com/Brigitte-Lajonie-Auteure-102461988136008</p>
<p>https://www.occitanie-tribune.com/articles/24632/des-larmes-de-papier-brigitte-lajonie</p>
<p>https://www.herault-direct.fr/articles/24632/des-larmes-de-papier-brigitte-lajonie</p>
<p>https://www.eurotribune.fr/articles/24632/des-larmes-de-papier-brigitte-lajonie</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/2eme_Prix_-_Brigitte_-page-001.jpg" title="2ème Prix - Brigitte -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.2eme_Prix_-_Brigitte_-page-001_m.jpg" alt="2ème Prix - Brigitte -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="2ème Prix - Brigitte -page-001.jpg, déc. 2020" /></a></p>Pascal BREHERETurn:md5:b14e76008409056f678f606baba0c02c2020-11-27T14:19:00+00:002020-11-27T14:19:00+00:00Marika DauresArticles auteursBREHERET <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Pascal_Breheret-page-001.jpg" title="CP Pascal Breheret-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Pascal_Breheret-page-001_m.jpg" alt="CP Pascal Breheret-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Pascal Breheret-page-001.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/1ere_de_COUV_4-page-001__1_.jpg" title="1ère de COUV 4-page-001 (1).jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.1ere_de_COUV_4-page-001__1__m.jpg" alt="1ère de COUV 4-page-001 (1).jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="1ère de COUV 4-page-001 (1).jpg, août 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT du livre :</strong></p>
<p><em>Louis marche d’un pas hésitant sur le chemin caillouteux longeant les immenses serres de fraises. Les tunnels en plastique ont poussé comme des champignons dans cette zone jadis bocagère, livrée à la jachère durant de longues années, et ensuite impitoyablement remembrée pour laisser place à la culture intensive. Il pleut. Mais cette eau tombante dru n’empêchera jamais Louis de remuer son corps pour un exercice salutaire, maintenir la qualité de ses artères, veines ou autres capillaires sanguins, et de combattre l’arthrose qui lui pourrit la vie depuis de nombreuses années. Il est vrai que son surpoids pondéral n’arrange rien, mais c’est ainsi ; il ne serait pas sérieux à 89 ans de s’engager dans un régime assassin. Ainsi, qu’il pleuve, qu’il neige ou qu’il vente à lui dévisser sa fidèle casquette, Louis sort tous les deux jours quoi qu’il arrive. Cela lui permet bien entendu de rencontrer du monde, de tailler la bavette et, aux beaux jours, de taquiner les sauterelles avec le bout de sa vieille canne.</em>
<em>Cela lui permet aussi de digérer toutes les nouvelles de la presse écrite avalées assidûment juste après le petit-déjeuner. Rien ne lui échappe dans les colonnes du quotidien Ouest-France, ou presque rien : du premier EPR en Chine à l’indigestion de tweets du président américain, de l’ascension de l’extrême droite autrichienne à la réforme du bac, de l’agression sexuelle d’une pauvre mamie à la réunification de la Bretagne, d’un plaidoyer au tribunal de Nantes aux rubriques locales, des avis d’obsèques aux annonces légales et judiciaires. Il ignore les pages Sports pour survoler la Bourse qui n’a de valeur à ses yeux que pour la forme de ses courbes ; il épluche les rubriques agricoles, s’imprègne avec une attention toute particulière des prévisions météo, du programme télé et enfin des potins mondains. S’il ne se flatte pas d’être un homme cultivé, il est néanmoins heureux de pouvoir échanger sur bon nombre de sujets d’actualité. Souvent revêche envers les dirigeants politiques, il a toujours « les » bonnes propositions. Son voisin Antoine lui répète souvent qu’avec sa palette de bonnes solutions à tout problème, il aurait pu être maire de la commune dont la gestion friserait alors la perfection.</em>
<em>Un sujet a retenu plus particulièrement son attention aujourd’hui. S’il fallait répondre par oui ou par non à la question « Souhaitez-vous que la Loire-Atlantique soit rattachée à la Bretagne ? », que dirait-il ? Il répondrait sans hésiter oui, parce que son département né du démembrement de la Bretagne en 1790 a des racines bretonnes et, de ce fait, s’est forgé une identité bien marquée. Louis, en homme convaincu, semble incollable sur le sujet. Il vous dira d’un ton presque magistral que pour des raisons économiques et structurelles, mais tout autant pour éviter de voir ressurgir une province forte et nerveuse, la Loire-Atlantique n’a jamais pu réintégrer « sa » Bretagne après l’amputation réalisée en 1941 par le « chirurgien » Pétain. Les aménagements successifs du territoire ont contribué à définitivement figer cette division. Aujourd’hui, les partisans d’une Bretagne élargie ne parlent assurément pas de rattachement, mais de réunification. Louis est partisan de cette réunification.</em></p>
<p><strong>Livre disponible en librairies et sur les sites de ventes en ligne</strong></p>
<p>https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/la-chapelle-sur-erdre-44240/la-chapelle-sur-erdre-le-romancier-publie-son-deuxieme-livre-7010799</p>Hélan BREDEAUurn:md5:007917ce4c677cd7058cb2547d7ea55c2020-11-27T12:54:00+00:002020-11-27T12:54:00+00:00Marika DauresArticles auteursBREDEAU <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Hasard-page-001.jpg" title="CP Hasard-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Hasard-page-001_m.jpg" alt="CP Hasard-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Hasard-page-001.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT :</strong>
Que sera le déroulement de notre journée. Famille, travail, rien d’exceptionnel, le train-train journalier pour la majorité des gens. Mais un jour la petite vie tranquille bascule dans le cauchemar, sans que rien, aucun indice ne l’ait annoncé ou juste fait augurer. Un accident, nous y pensons tous, cela fait partie des risques non prévisibles mais possibles. Par contre, l’effrayante et incroyable aventure survenue dans leur vie, jamais ils n’auraient pu l’imaginer. Est-ce nous qui provoquons l’évènement ou bien l’évènement est-il programmé en nous ou bien est-ce juste … le hasard…</p>
<p>UN GENTIL PETIT OISEAU
-1-
''Nous sommes le 9 octobre et j’attends Laure Monan au bar des pêcheurs*, sur le port de Thonon. On a vraiment l’impression d’être au bord de l’océan avec les bateaux, le vent, les vagues qui roulent doucement sur les galets. Ce ne sont pas de grosses vagues en général, même s’il peut y avoir de véritables tempêtes sur le lac Léman. Il fait encore très doux pour la saison, mais les petits matins et les soirées, beaucoup plus frais, annoncent que l’hiver ne tardera plus bien longtemps. Les anciens ont prédit et on peut les croire, les montagnards savent de quoi ils parlent, que ce sera un hiver précoce et glacial, avec beaucoup de neige. Cela est de bon augure pour les stations de ski, mais un peu moins réjouissant pour ceux qui doivent circuler, ce qui est mon cas. Je vais devoir changer mes pneus de voiture sans trop tarder et m’habiller un peu plus chaudement. Pour le moment le vent n’est pas très froid, mais on ne va pas tarder à subir ce qu’on appelle ici la bise, un vent glacial et violent. Cette bise dure un, trois, six jours voire plus… Si elle souffle durant deux jours, on sait qu’elle soufflera au moins un jour de plus et ainsi de suite. Je regarde l’horizon. Le lac est si étendu qu’on n’en voit pas les limites. J’écoute le clapotis de l’eau, le doux bruit des galets se polissant lentement, jour après jour, les uns contre les autres. Il n’est que seize heures et le ciel commence déjà à s’assombrir. La nuit arrive tôt par ici.
Je m’appelle Manuella Erbée, j’ai trente-six ans, je suis infirmière libérale. J’ai un boulot de dingue mais je m’accroche. C’est un travail qui me plait mais si l’on n’y prend garde, il vous dévore complètement. C’est un réel danger pour un couple. Donc régulièrement, je prends des congés grâce à des remplaçants dont Laure Monan. J’ai fait appel à Laure il y a seulement quelques jours car mon mari et moi avons eu une subite envie de changer d’air. Notre décision ayant été un peu rapide, je m’étais faite une raison, si elle pouvait me remplacer tant mieux, si elle ne pouvait pas, tant pis. Mais j’aurais vraiment été déçue qu’elle ne le
puisse pas. Elle avait pu et je l’attends afin de lui donner la liste de mes patients.
Une Clio vert clair se gare. Laure Monan rejoint Manuella.</p>
<p>- Excuse- moi Manu, je suis un peu en retard, j’avais mon ex au téléphone.</p>
<p>- Ce n’est pas grave, mais lequel ex, le dernier, l’avant dernier…?</p>
<p>- Arrête, dit-elle en riant un peu jaune, Max bien sûr ! Je n’ai plus de nouvelles de Philippe depuis bien longtemps et je n’en souhaite pas !</p>
<p>- Oh, je suis désolée, je croyais que ça se passait bien avec Max.</p>
<p>- Moi aussi !</p>
<p>- Il t’a quittée ?</p>
<p>- Il n’a pas eu le temps, je l’ai mis à la porte ! Une belle brune aux yeux verts a traversé sa route et il n’a pas résisté. Bon assez parlé de ça''.</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_-Un_jour_de_Cafard-page-001.jpg" title="CP -Un jour de Cafard-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_-Un_jour_de_Cafard-page-001_m.jpg" alt="CP -Un jour de Cafard-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP -Un jour de Cafard-page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT</strong> :
J’étais assis sur une banquette pourrie au fond d’un bar désert. Au chômage depuis trop longtemps, je réfléchissais à ma triste situation.
Bientôt je serai à la rue. Je ne pouvais plus payer le loyer du minable studio aussi pourri que le siège sur lequel je me trouvais. Un logement qui me servait d’hôtel depuis que j'avais dû quitter mon superbe appart dans un bel immeuble du quinzième. Il y avait eu quelques intermédiaires avant ce taudis, avec toujours l'espoir que j’allais retrouver ma situation de cadre supérieur aisé. Une descente en pente douce, mais une glissade inéluctable. C’était vraiment la fin. J’étais arrivé au bout. La piste n’allait pas plus loin et aucun indice
d’une quelconque remontée possible en vue. Je regardais défiler les derniers euros qui traînaient au fond de ma poche, un à un, au fil des verres que j’avalais. Je croyais ainsi noyer ma désespérance. Je me disais que plus je boirais plus les images qui défilaient dans mon cerveau s’effaceraient. Ça clignotait là-dedans comme un bip-bip d’alarme permanent. Ma vie se résumait à plus rien. Rien de
rien. Pas de compagne fidèle, enfin plus, la dernière s’était enfuie parce que, justement, moi fidèle, je ne l’étais pas beaucoup. Je l’aimais bien pourtant celle-là. Mais les conditions étaient tout autres. J’avais tout ce qu’il fallait. Le physique, l’argent, la position sociale, toutes les filles que je désirais ! Alors pourquoi me serais-je privé ? Tout me semblait si simple à l’époque. À l’époque… on dirait un vieux croûton qui raconte sa vie. Pourtant la situation ne date que de quelques mois, mais quelle dégringolade ! Qu’est-ce que j’aurais à lui offrir à cette femme que j’aimais bien…?</p>
<p><strong>Une lecture addictive sans aucun temps mort !</strong>
Hélan Brédeau a bien montré comment un point de départ anodin (une photo) peut emmener sur des chemins où il ne fait pas bon traîner. L’écriture est fluide, on visualise nettement les différentes scènes, on tremble, on se met en colère, on vit avec les personnages, on est au cœur de l’intrigue. A travers son récit, l’auteur évoque des sujets d’actualités, les choix qu’il faut parfois faire lorsqu’on est dans la précarité, le pouvoir de certains lorsqu’ils se croient « intouchables », etc. Il y a une bonne approche du caractère des protagonistes et des raisons de chacun d’agir comme il le fait.</p>
<p>https://wcassiopee.blogspot.com/2020/10/un-jour-de-cafard-de-helan-bredeau.html</p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/._Cout__de_Folie_m.jpg" alt="_Coût__de_Folie.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="_Coût__de_Folie.jpg, avr. 2019" /></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Helian_BREDEAU_-page-001_m.jpg" alt="CP Hélian BREDEAU -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Hélian BREDEAU -page-001.jpg, avr. 2019" /></p>
<p>https://www.amazon.fr/Co%C3%BBt-folie-H%C3%A9lan-Br%C3%A9deau/dp/2322151955</p>
<p>https://booknode.com/cout_de_folie_02880444</p>
<p>https://nouveautes-editeurs.bnf.fr/annonces.html?id_declaration=10000000468556&titre_livre=%22Co%C3%BBt%22_de_Folie</p>
<p>http://www.critiqueslibres.com/i.php/vcrit/55308</p>
<p>https://ebook.chapitre.com/ebooks/cout-de-folie-9782322154104_9782322154104_10007.html</p>
<p>https://ebook.furet.com/e-book/policiers-et-thrillers/nouveautes-polars-ebooks.html</p>
<p><strong>Avis de lecture :</strong>
<em>On croit lire un thriller politique, mais détrompez-vous, c'est avant tout l'histoire d'une femme amoureuse (Sabine) qui a été injustement accusée du meurtre de l'homme pour qui, elle avait tout quitté (Raphaël) un homme qu'elle pensait connaître mais qui</em><q></q>...</p>
<p><strong>Suite de l'article disponible ici :</strong>
http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2019/04/cout-de-folie-helan-bredeau-books-on-demand-par-nathalie-courchesne.html</p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_ROYAN-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE ROYAN-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE ROYAN-page-001.jpg, mai 2019" /></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_MONTENDRE_-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE MONTENDRE -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE MONTENDRE -page-001.jpg, mai 2019" /></p>
<p>https://wcassiopee.blogspot.com/2019/06/cout-de-folie-de-helan-bredeau.html</p>
<p>http://www.partagelecture.com/t25118-bredeau-helan-cout-de-folie</p>
<p>https://france-art.tv/parentheses/parenthese-helan-bredeau/?fbclid=IwAR2mtH2-O-mGuDgQFYAs78nwy24ZvJMp_cytTfNjR06mUihadTlEoXh7U-Y</p>Nicolas G.A BILIGUIurn:md5:2ce390f2f72322a9161d6b358a2ba43c2020-11-27T08:43:00+00:002020-11-27T09:18:07+00:00Marika DauresArticles auteursBILIGUINicolas <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Nicolas_G.A._Biligui-page-001.jpg" title="CP Nicolas G.A. Biligui-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Nicolas_G.A._Biligui-page-001_m.jpg" alt="CP Nicolas G.A. Biligui-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Nicolas G.A. Biligui-page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT :</strong>
La quête onirique de Sanga
Au lendemain du 8e jour
Armageddon
Mon nom est Jay. Je viens de me réveiller dans cet hôpital vidé de ses occupants. À l’extérieur, alors que j’erre dans les rues, c’est un spectacle de désolation qui s’offre à moi. Je ne reconnais plus Barcelone, de la place de la Catalonia désertée à la Sagrada Familia dévastée par les flammes.
La fin d’un monde maintes fois prédite s’est accomplie. En tant que survivant, j’ai entrepris de poser par écrit tous les événements qui vont jalonner le commencement du reste de ma vie. La une de la dernière parution du journal El Pais ne laisse aucun doute raisonnable quant à se qui s’est passé. « L’Apocalypse » titrée en lettre de sang, l’article décrivait des scènes de destruction et de pillages à l’échelle mondiale. La suite de l’article parlait de « révélation divine »… Ce sont elles, ces scènes, qui ont poussé le monde dans le désarroi, elles qui sont arrivées sans crier gare, touchant simultanément le mont du Temple à Jérusalem, La Mecque et le sanctuaire du Vatican, trois attaques dignes d’un châtiment divin qui ont éradiqué sans signe avant-coureur aucun les centres névralgiques de nos trois grandes religions. Tout le monde a été sous le choc. S’est ensuivi une pluie de feu incandescent durant des jours et des jours sur les plus grandes villes de la planète, comme si le ciel nous était tombé sur la tête. En quelques semaines, le bilan fut catastrophique. La civilisation avait perdu pied, et plus de deux cents millions de femmes, d’hommes et d’enfants venaient de mourir.</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-001.jpg" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-001_m.jpg" alt="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-001.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-002.jpg" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-002.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-002_m.jpg" alt="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-002.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-002.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-003.jpg" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-003.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-003_m.jpg" alt="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-003.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-003.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-004.jpg" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-004.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-004_m.jpg" alt="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-004.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-004.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-005.jpg" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-005.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Heroicis_-__Dossier_de_PRESSE-page-005_m.jpg" alt="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-005.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Heroicis - Dossier de PRESSE-page-005.jpg, nov. 2020" /></a></p>Jacques ROUREurn:md5:f0336db2a512a11b3f7a47afbdb02cff2020-11-27T08:36:00+00:002020-11-27T08:36:00+00:00Marika DauresArticles auteursRoure <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_-page-001.jpg" title="CP -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_-page-001_m.jpg" alt="CP -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP -page-001.jpg, mai 2020" /></a></p>
<p>Préface de Philippe Grimbert</p>
<p><strong>EXTRAIT du livre:</strong><ins></ins></p>
<p><em>L’aube. Le soleil se lève et des milliards de culs se lèvent aussi. La vie matinale tourne autour d’un orifice. On va commencer la journée en mettant déjà un peu sa merde. Les toilettes se ferment de l’intérieur, se referment sur notre moi-même, concentré sur une seule chose, l’exonération. Quel bonheur ! D’abord péter plusieurs fois, sèchement. Obligatoire. Puis un vent continu et moins bruyant et derrière ce dernier cri le premier excrément, un peu sec, qui a passé la nuit dans le rectum. Enfin des choses plus fines et plus molles amenant une tout autre odeur. Drôle d’aube. Un jour nouveau commence dans le parfum de décomposition de la matière. On s’essuie, on se lève, on scrute l’intérieur de la cuvette. Le petit bouton pressé, au-dessus du réservoir, libère le flot sonore de l’eau longtemps retenue. Un coup de balai pour enlever les traces colorées sur la porcelaine. Un peu de liquide bleu pour traquer les microbes. Enfin un coup de bombe pour masquer ce mélange d’odeurs que même, en été, la fenêtre ouverte ne parvient pas à laisser s’enfuir. Belle journée. Je viens de dire bonjour à la vie.</em>
<em>Je m’appelle Albert Ducreux. On s’en souvient facilement. D’abord, à l’école : – Vous, Ducreux, par exemple, qui portez bien votre nom, vous pourriez répéter ce que je viens de dire ? Il avait fait de l’esprit, le con. Il s’appelait Archibald Matamore. Avec son nom, j’aurais aussi fermé ma gueule. Les coliques ont commencé à cette époque. J’avais sept ans. Je restais de longues minutes à écouter le lent cheminement d’une douleur, d’abord sourde puis brûlante progressant le long de mes boyaux. Je contractais longtemps l’ultime orifice. Je savais qu’à l’intérieur, il n’y avait rien de consistant. Je levais le doigt. – M’sieur, M’sieur, je peux sortir ?</em>
<em>Il me regardait de son œil torve. J’avais l’impression qu’il lisait au travers de mon corps le conflit noué entre le petit déjeuner du matin et mes tripes. – Vous attendrez l’heure de la récréation. Le sort en était jeté. J’allais une fois de plus me chier dessus. Liquide puant, traversant d’abord ma culotte « Petit Bateau » puis imbibant le tissu laineux de mon pantalon. Je pleurais. Le programme suivant était écrit d’avance. Mon plus proche voisin se pinçait le nez en hurlant : – M’sieur, m’sieur, ça pue, ça pue. Toute la classe sur l’air du pin-pon des pompiers reprenait en chœur « ça pue, ça pue ». Honteux et merdeux je me levais pour suivre la direction du doigt vengeur de Matamore qui m’indiquait la porte. Ah ! Cette cour de récréation. Je la retrouvais avec bonheur. Une rangée de petits cabinets, presque clos par une demi-porte laissant passer vers le bas une souveraine aération. Nettoyés le matin, ils sentaient encore l’eau de Javel. Je pouvais enlever les chaussures pour baisser mon pantalon. Les dégâts n’étaient pas irréparables. Je retirais le slip par la même occasion et les deux pieds posés sur le bord de la cuvette à la turque, je poussais. Après les quelques pets habituels, tout le flot de mon" "dérangement venait tigrer le réceptacle. De la joie. Je baissais un peu la tête pour regarder entre mes jambes et humer les effluves de ma liberté retrouvée.</em>
''Qu’elle sent bon notre propre merde ! J’avais, pour moi, à cet instant, un amour quelque peu excessif. La vie tournait bien autour du trou du cul. Toutes ces manifestations ont commencé, le jour de ma naissance, en 1938, cet âge où l’innocence est encore un vêtement relativement pur et trop large pour être souillé par les questions existentielles. Bien sûr, ne sont présents, qu’à l’état de souvenirs" "racontés, les premiers résultats de l’absorption des « blédines » et des laitages. Les premières expulsions sont vécues, par un entourage admiratif, comme des cadeaux : – Oh ! Il a dû nous faire encore un beau caca. Viens, mon amour, je vais te changer. Nous voilà, le cul à l’air. On se laisse tranquillement décoller d’une paire de fesses un peu rougies la garniture, qui dans l’instant d’avant faisait doubler l’importance de notre arrière-train. Premiers émois sensuels dans ce tripatouillage tiède. Que de précautions prises sur cette table à langer, table à démerder, à contempler la couleur, la consistance de ces matières fécales. – Qu’elles sont belles. Tu nous as fait un beau caca. Cette nauséabonde constatation finit dans la poubelle refermée précipitamment pour que le chien, si l’on n’y prend pas garde, ne cherche à en bouffer une partie. Un nouvel emballage vient clore l’incident jusqu’à ce que la prochaine tétée ne reconstitue, après une digestion plus ou moins longue, le contingent suivant. Pipi, caca. Ça va nous faire des souvenirs pour chaque jour de notre vie.
Allez savoir pourquoi, je suis arrivé le premier à la porte de l’ovule. Il en faut de la chance pour un jour exister. La chance d’un spermatozoïde sur cinq milliards. Dans la fusion intime de mes parents, ce jour-là, le destin m’avait souri. À partir de là et jusqu’à ma naissance, rien dans ma mémoire. Même en fouillant bien les méandres d’un inconscient prénatal, il ne m’est apparu aucune image aquatique.''
<em>Je devais donc sortir par là même où j’étais entré neuf mois plus tôt. Il y avait dehors de la lumière. Je suis arrivé dans le monde des êtres à respiration pulmonaire. Un premier cri annonça le déploiement de mes alvéoles, une première grimace pour regretter déjà la chaleur humide et aqueuse de l’aquarium abandonné. Deux couilles, une toute petite bite, permirent à l’entourage médico-gynécologique d’affirmer : – C’est un garçon. – Et vous allez l’appeler comment ? – Albert. Le sort en était jeté.</em>
<em>Je n’eus conscience, que beaucoup plus tard, du fonctionnement de cette usine à merde. J’ai très tôt pensé au magma plus ou moins compact, transitant journellement dans nos conduites intérieures. À un moment ou un autre il devait être expulsé. J’imaginais le poids et l’importance d’un individu, normalement constitué, accumulant, au fil des jours les tonnes d’excréments métabolisés par notre usine interne. J’ai assez vite trouvé merveilleux le fonctionnement de cette cuisine invisible, gérée par des millions et des millions de bacilles, tous plus difficiles les uns que les autres, à identifier et demeurant « troglodytement » parlant dans notre monde secret. Je me suis rapidement contemplé, comme un entrelacs de tuyaux et de réservoirs, constituant une incroyable usine à trier, détruire, digérer, métaboliser le monde extérieur. Et puis, ces chevauchées avançant tantôt tranquillement, coulant des jours paisibles jusqu’à la dissolution finale. Lovées, benoîtement, dans toute la largeur des conduits, avant de s’échapper, au cours de poussées successives et vigoureuses, pour terminer leur route, par un ploc, humidifiant délicatement la partie postérieure de notre corps, avachi sur la lunette. Parfois serpentant, tel un ruisselet de printemps, dans un gargouillis à peine perceptible, et venant éclabousser, d’un seul coup la cuvette, comme un orage d’été. Et cette aube toujours recommencée autour de ces préoccupations matinales...........</em></p>
<p><strong>Artiste complet Jacques Roure est né là Marseille. Parolier, metteur en scène, réalisateur français, peintre....Il joue de tous ses talents a signé des chansons pour des artistes de premier plan comme Serge REGGIANI, LIO, Alice DONA, Michel TORR....etc. Son film Casse-Cache (30 min), reçoit un accueil très favorable (Prix de la ville d’Aix-en-Provence, Prix de la ville de Bordeaux au National de la Fédération Française de Cinéma et de Vidéo) et est diffusé sur France 2. En 1987, il a créé, avec son frère Georges et Jean-Marc Vidal, le Théâtre de la Fonderie à Aix-en-Provence.</strong></p>
<p>https://pariscotedazur.fr/archives/article/6312</p>
<p>https://www.babelio.com/auteur/-Jacques-Roure/526539</p>
<p>http://rainfolk.com/2020/02/recit-histoire-passe-leve-aube-jacques-roure.html</p>
<p>https://www.netgalley.fr/catalog/book/176159</p>
<p><strong>EXTRAIT de la chronique :</strong></p>
<p>L’écriture de l’auteur est pétillante, parfois un tantinet insolente, presqu’irrévérencieuse lorsqu’elle évoque des sujets que l’on a l’habitude de taire. Mais c’est amusant, plein de fantaisie, d’une forme de poésie et assorti d’un vocabulaire d’excellente qualité. Le rythme est soutenu, on voit se dérouler la vie d’Albert et on a du plaisir à suivre ses pérégrinations.</p>
<p>https://wcassiopee.blogspot.com/2020/10/le-passe-se-leve-laube-de-jacques-roure.html</p>
<p>https://www.partagelecture.com/t26903-roure-jacques-le-poids-du-passe</p>
<pre> http://alecoutedeslivres.over-blog.com/2020/11/le-livre-du-jour-le-passe-se-leve-a-l-aube-4.html?fbclid=IwAR3iYTtwUTTN1O5u0UT_uko-h_8xmAiYP_zptx3hth4g8h_QFDiR2F4aruU</pre>Gilles UZZANurn:md5:a70b54e4f9520cebee7157cf9aa6bcbe2020-11-27T07:49:00+00:002020-11-27T08:15:38+00:00Marika DauresArticles auteursUZZAN <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Gilles_Uzzan-page-001.jpg" title="CP Gilles Uzzan-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Gilles_Uzzan-page-001_m.jpg" alt="CP Gilles Uzzan-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Gilles Uzzan-page-001.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Isaac_et_Lola_-page-001_m.jpg" alt="CP Isaac et Lola -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Isaac et Lola -page-001.jpg, mai 2019" /></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Un_Regard_sur_le_Judaisme_-page-001_m.jpg" alt="CP Un Regard sur le Judaisme -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Un Regard sur le Judaisme -page-001.jpg, mai 2019" /></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Contes_Alienes_pdf-page-001_m.jpg" alt="CP Contes Aliénés pdf-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Contes Aliénés pdf-page-001.jpg, mai 2019" /></p>
<p>https://mail.google.com/mail/u/1/#inbox/FMfcgxwChcgKzPWgHqCcxRPRBQTqjRXs?compose=GTvVlcRzDDDfxRKTWQNPFzVwNfQzdnMkXqfqqRCzfSCgSmnDNjztJFxCDhjBVHfqwKLmSCrnpjtTn</p>
<h4>Merci Martine Lévesque d'avoir rédigé cette chronique qui donne une visibilité sur un sujet sensible :</h4>
<p>Gilles Uzzan est un médecin en psychiatrie qui nous raconte le vécu d’un médecin d’aujourd’hui qui œuvre en psychiatrie, son message est sensible, rempli d’émotion et de compassion.
Gilles Uzzan permet - en donnant différentes conférences- de mettre un éclairage sur les êtres, ces patients qui sont considérés encore aujourd’hui comme des personnes en marge de la vie en société.</p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2019/07/contes-alienes-gilles-uzzan-les-editions-de-l-onde-par-martine-levesque.html</p>
<h4>Vendredi 14 juin 2019 de 14h à 19h</h4>
<p>Salon du livre dédicacé organisé par le GROUPEMENT DES ÉCRIVAINS MÉDECINS - Conférence animée par le Dr Uzzan
Lieu : L’HÔTEL BEDFORD ,17 rue de l’Arcade 75008 Paris</p>Martine MAGNINurn:md5:c37ca3bc8fb1d9f3cd8b4fc9ff34f0b42020-11-12T07:33:00+00:002020-11-12T07:33:00+00:00Marika DauresArticles auteursMagnin <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_-qu_importe_le_chemin-page-001.jpg" title="CP -qu importe le chemin-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_-qu_importe_le_chemin-page-001_m.jpg" alt="CP -qu importe le chemin-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP -qu importe le chemin-page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT:</strong>
L’ombre nous attend.
Dès que l’on passe sous l’imposant porche de pierre de la rue Duroc, dès qu'on entre au sein de l’Hôpital des Enfants malades, même peu concerné, même pour une simple visite, on se sent déjà inquiet.
Rien n’y fait, c’est ainsi.
Sans pouvoir définir clairement une impression précise, on est malheureux, crispé, tendu et sur la défensive. Troublé, embarrassé, le dos rond, on se tasse imperceptiblement, on ressent immédiatement comme un poids sur ses épaules, une main étrangère et froide enserre notre poitrine, puis une interrogation douloureuse nous assaille et grignote notre âme. Une incertitude insidieuse plane au-dessus de notre tête, puis s’installe en nous et ne nous quitte plus. On voudrait tant être ailleurs.
On craint le pire, et quelques fois... avec raison. Ces deux noms accolés, cette coexistence inconfortable « Enfants » et « malades », est déjà un malaise en soi, une contradiction gênante, une regrettable antinomie. C’est un contresens, une incohérence, un oxymore, car les enfants ne devraient pas être malades, les autres oui, les adultes, les vieillards, éventuellement, peut-être, s’il le faut vraiment. Mais eux non, surtout pas. Ils doivent être toujours heureux, souriants, actifs, confiants, en progrès, en devenir, intacts et protégés dans leur statut d’enfant. Un nouveau-né, un môme, un bambin, un loupiot, un gosse… c’est sacré. Cet hôpital s’appelle en effet « Les Enfants malades ». Dès lors, on soupçonne qu'il se passe ici des choses terribles et révoltantes qui ne devraient pas exister, on devine qu’il s’agit là de souffrances, d'injustices, d’inquiétudes tenaces, d’angoisses poignantes... Le nom de cet établissement, malheureusement nécessaire et indispensable, est une insulte au bon sens, et surtout au bon cœur. Une erreur.
Malgré les travaux successifs réalisés pour le moderniser, « l’humaniser » comme on dit, les plates-bandes de fleurs déjà épuisées, les touches inutiles de couleurs vives ça et là, malgré la compétence et le dévouement infinis des équipes soignantes, ces murs ont connu tant de douleurs et d'arrachements qu'ils suintent toujours de larmes, de plaintes, d'effroi et de désespoir. Preuve irréfutable de cette aberration, même en été, il y fait un froid silencieux et glacial et même si le ciel est bleu, il y semble menaçant. Les dessins naïfs d’enfants, punaisés ici et là, et les décalcomanies du dernier Noël sur les vitres font monter les larmes aux yeux.
Efforts dérisoires. Sourires larmoyants.
Et si l’on est, par mégarde ou par totale malchance, la mère de cet enfant... malade, on donnerait sa vie pour échanger les rôles dans cette situation extrême. Prendre sa place dans la civière, dans le lit, sur la table d’opération, dans la souffrance et dans l’impondérable...
On tenterait tout pour le préserver, détourner de lui les regards scrutateurs des médecins, empêcher les doigts froids inconnus de le palper sans douceur, dévier l’aiguille de la piqûre vers son propre corps, on préférerait avaler à sa place les potions infectes et les cachets répétés. On ne le quitterait pas des yeux, on ne lâcherait pas sa main, on lui rendrait son sourire, sa confiance et son avenir.
Si on est la mère de cet enfant, on hurlerait sans bruit tout au fond de soi, au creux de son ventre, on crisperait nos mains sur la tendresse devenue insuffisante, puis on s'accrocherait au moindre espoir, au plus minuscule indice encourageant, à la moindre rumeur positive, au visage surmené ou soudain attentif du médecin, à son regard sincère ou fuyant, à ses moindres mots, à ses silences.
Devenu un spectateur obligé, on guette le regard des soignants pour tenter d’interpréter les attitudes et les non-dits, on reste à l’affût de chacun de leur geste et du moindre de leur signe. On analyse les sons, les silences, et les mots inconnus. On s’évertue à déchiffrer à l’envers la fiche de suivi, à décoder les abréviations abstraites et les renseignements les plus elliptiques. On perd brutalement la source d’énergie qui nous menait habituellement sans faillir, l’intelligence qui nous était spontanée, on change insensiblement de personnalité, on dérape, on perd pied, on se sent comme une boussole folle qui a perdu le nord. La confiance s’enfuit comme le sable à travers les doigts d’un poing serré. Désorientée, perdue, on devient une mère inutile. Et il n’y a rien de pire.
Espoir ou impuissance ?
On glane partout les informations, on fouille fébrilement autour de soi et on décortique en douce la feuille de surveillance, les graphiques totalement hermétiques, les prescriptions aussi savantes qu’abstraites. On sait qu’on ne devrait pas le faire, mais on potasse tout de même les dictionnaires médicaux alarmistes et on évoque avec d’autres des expériences qui ne se ressemblent pas toujours, ou pire, qui se contredisent. En vain, on n’a ni le savoir ni le pouvoir. On se sent de fait totalement dépassé, inefficace et enfermé à double tour dans ce nouveau statut de parent d’enfant malade, mis brutalement à l’écart de sa fonction naturelle. On est passé de l’autre côté du miroir, coincé, condamné côté ombre… Tous les rituels habituels deviennent caducs, nos repères les plus évidents et les plus naturels explosent, réduits à néant. On tâtonne, on s’égare, on tremble, on ne reconnaît plus rien.
On ne reconnaît plus sa propre vie.</p>
<p><strong>«</strong> À nous, parents inquiets et ignorants, la recherche fébrile dans les dictionnaires médicaux, le décryptage impossible des graphiques d'électro-encéphalogrammes et l'interprétation plus que hasardeuse des
bilans biologiques. Le regard froid et technique des médecins blasés, leur arrogance expérimentée, hautaine et fuyante. De l'autre côté, la maladresse et l'extrême compassion des amis et de la famille n'arrangeaient rien. Leur compassion maladroite et pesante nous hérissait, on s'empêchait de les repousser avec brusquerie, ce n'était pas le moment de parler ou de partager, c'était juste le moment de comprendre et de se battre. C'était le moment de crier en silence. <strong>»</strong></p>
<p><strong>EXTRAIT de la chronique:</strong>
Le récit de Martine m’a remis en tête une phrase lue il y a quelque temps chez Véronique Olmi :
« C'est étrange comme il suffit d'un rien pour qu'une vie se désaccorde, elle aussi, que notre existence, tellement unique, si précieuse, perde son harmonie et sa valeur. Comme si elle était faite d'air, et rien que de cela. »
Long est le chemin vers le renouveau et, aux côtés de Martine, il se fait avec courage, dans la dignité.</p>
<p>https://www.calliope-petrichor.fr/2020/11/05/qu-importe-le-chemin-martine-magnin-fauves-%C3%A9ditions/?fbclid=IwAR1y_xZyvxjfM0hqb_HXJgI7W8Nqrn52tQtpFOlQJ8aygm1zFcfx85Oicsk</p>
<p><em>Merci à Christine pour ce retour de chronique.</em></p>
<p>EUROTRIBUNE : https://www.eurotribune.fr/articles/25809/qu-importe-le-chemin-par-martine-magnin</p>
<p>OCCITANIE-TRIBUNE : https://www.occitanie-tribune.com/articles/25809/qu-importe-le-chemin-par-martine-magnin</p>
<p>HERAULT-DIRECT : https://www.herault-direct.fr/articles/25809/qu-importe-le-chemin-par-martine-magnin</p>
<h4>Prochainement en interview Martine Magnin :</h4>
<p>https://www.rtflimoges.com/radio-rtf-limoges-emmission-26-le-caf-des-amis?fbclid=IwAR2l6U2ekeLnWRXYv3XgkAtmZCPRVMoeqR8DlANRYml-G_Ge3n5ZpRNP50U</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_Martine_La_Rochelle_2020-page-001__1_.jpg" title="AFFICHE Martine La Rochelle 2020-page-001 (1).jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_Martine_La_Rochelle_2020-page-001__1__m.jpg" alt="AFFICHE Martine La Rochelle 2020-page-001 (1).jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE Martine La Rochelle 2020-page-001 (1).jpg, fév. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Le_confort_de_l_autruche_-page-001.jpg" title="CP Le confort de l autruche -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Le_confort_de_l_autruche_-page-001_m.jpg" alt="CP Le confort de l autruche -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Le confort de l autruche -page-001.jpg, août 2019" /></a></p>
<p><strong>Merci à Jacques Alexandre et à FranceArtTV pour cette interview.</strong></p>
<p>Martine Magnin: Fauves-Editions
Chargée de presse de l'auteure: Marika Daures</p>
<h4>Un récit qui dénonce une fois de plus la passivité d'une mère et d'une grand-mère face aux agressions sexuelle que subit Jenny de son beau-père. Martine Magnin ravive, avec beaucoup de sensibilité et de pudeur, les souvenirs endoloris d'une petite fille à jamais blessée.</h4>
<pre></pre>
<p>https://france-art.tv/parentheses/parenthese-martine-magnin/?fbclid=IwAR1qFFRpTj2qFoDJdn2izMQOWXim4wq2b652Kd-vcDTkAG7nYBQD4e95DJY</p>
<p><strong>lien éditeur :</strong> https://www.fauves-editions.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=136
<strong>Babelio</strong> https://www.babelio.com/livres/Magnin-Le-confort-de-lautruche/1149429</p>
<h4>Un récit percutant et pudique qui pose des sujets difficiles s’il en est, de l’inceste et de la maltraitance, de la trahison, le poids de la famille et le pouvoir des adultes, de la responsabilité de ceux qui préfèrent "faire l’autruche ".</h4>
<p>https://lyseelivres.wordpress.com/2019/05/29/2019-25-le-confort-de-lautruche-martine-magnin/</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_Martine_salon_Bibliomania-page-001.jpg" title="AFFICHE Martine salon Bibliomania-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_Martine_salon_Bibliomania-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE Martine salon Bibliomania-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE Martine salon Bibliomania-page-001.jpg, août 2019" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Le_baiser_de_Gustav-page-001.jpg" title="CP Le baiser de Gustav-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Le_baiser_de_Gustav-page-001_m.jpg" alt="CP Le baiser de Gustav-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Le baiser de Gustav-page-001.jpg, août 2019" /></a></p>
<p><strong>Je remercie Martine Lévesque pour cette nouvelle chronique, un vrai plaisir de la lire et de suivre ce blog.</strong></p>
<p><em>Ce roman touche des thèmes assez intenses, comme la mort, la vie, la maternité, la féminité, l’amour, la résilience, l’engagement, etc. Martine Magnina un immense talent pour toucher au sens philosophique de la vie, elle a une fine plume qui démontre une sensibilité, elle démontre une affinité délicate pour décrire les émotions, les sentiments et les moments d’intimité.</em></p>
<p>https://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2019/08/le-baiser-de-gustav-martine-magnin-editions-pierre-philippe-par-martine-levesque.html?fbclid=IwAR18yx6QqMsT_NI0Zn-JX5O9p_lKqW7lrDsHEcYbgZRDbFS2013QlNZKZ5o</p>
<h3>Après la belle chronique de Martine Lévesque, je vous invite à prendre connaissance des nombreux témoignages de lecteurs publiés sur :</h3>
<p>https://www.amazon.fr/Baiser-Gustav-Magnin-Martine/dp/2940602190/ref=asap_bc?ie=UTF8</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/9782940602193-475x500-1.jpg" title="9782940602193-475x500-1.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.9782940602193-475x500-1_m.jpg" alt="9782940602193-475x500-1.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="9782940602193-475x500-1.jpg, août 2019" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE__Martine_Magnin_salon_LAGNY_-page-001.jpg" title="AFFICHE Martine Magnin salon LAGNY -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE__Martine_Magnin_salon_LAGNY_-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE Martine Magnin salon LAGNY -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE Martine Magnin salon LAGNY -page-001.jpg, sept. 2019" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CONFERENCE__Martine_janvier-page-001.jpg" title="CONFERENCE Martine janvier-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CONFERENCE__Martine_janvier-page-001_m.jpg" alt="CONFERENCE Martine janvier-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CONFERENCE Martine janvier-page-001.jpg, nov. 2019" /></a></p>
<h4>Avec "Parenthèse" émission littéraire, Jacques Alexandre et France Art TV donnent la parole à un auteur, cette fois-ci Martine Magnin :</h4>
<p>https://france-art.tv/parentheses/parenthese-martine-magnin-le-baiser-de-gustav/?fbclid=IwAR1THOKZ0Twj72bhhdlttrt98kWR67OhLfRo0N4MOnaxi25YfpAcjFlBEwQ</p>
<p>Merci à eux.</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/70907888_2596390203744326_2352365875920633856_o.jpg" title="70907888_2596390203744326_2352365875920633856_o.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.70907888_2596390203744326_2352365875920633856_o_m.jpg" alt="70907888_2596390203744326_2352365875920633856_o.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="70907888_2596390203744326_2352365875920633856_o.jpg, nov. 2019" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/71147673_2596390110411002_6306479245845594112_o.jpg" title="71147673_2596390110411002_6306479245845594112_o.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.71147673_2596390110411002_6306479245845594112_o_m.jpg" alt="71147673_2596390110411002_6306479245845594112_o.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="71147673_2596390110411002_6306479245845594112_o.jpg, nov. 2019" /></a></p>
<h3>Le livre " “Bien mal acquis...”de Martine Magnin présenté au 25e FESTIVAL POLAR DE COGNAC /16-18 octobre 2020</h3>
<p>Grands Prix du Festival (Cinéma - Télévision) - Cérémonie de Remise des "PRIX COGNAC" (Bande Dessinée - Littérature).</p>
<p>Que 2020 soit l'année de cette récompense pour Martine Magnin !</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Martine_Magnin-collier_de_nouilles-page-001.jpg" title="CP Martine Magnin-collier de nouilles-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Martine_Magnin-collier_de_nouilles-page-001_m.jpg" alt="CP Martine Magnin-collier de nouilles-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Martine Magnin-collier de nouilles-page-001.jpg, janv. 2020" /></a></p>
<p><em>La célébration des mères de famille est une tradition encore plus ancienne que celle de Noël ! Eh oui, la fête des Mères remonte au temps d'Astérix. C'est une tradition très ancienne ! Les premiers à avoir instauré une journée consacrée aux mamans sont les Grecs et les Romains, qui organisaient chaque année au printemps une cérémonie en l'honneur de Rhéa et Cybèle, les divinités mères des Dieux.</em></p>
<p><strong>EXTRAIT :</strong></p>
<p><em></em>Quittant le portrait idéalisé de la Mère, il nous faut bien admettre que la réalité échappe parfois à ces images oniriques.''
<em>La Mère imparfaite ou toxique est à la Mère, ce que le polyester est au cachemire. Un ersatz, une pâle copie, une contrefaçon flagrante et toujours décevante. Du coup, cette usurpatrice de statut ne fonctionne à peine que dans le paraître, et certainement pas au cœur des émotions, dans la vérité quotidienne des choses, dans la chaleur attendue, dans le secours promis, le regard bienveillant, la présence rassurante, le soutien demandé, la certitude du refuge accordé. Il s’agit alors d’un échec.</em>
<em>Un mal de mère, un mal d’enfant !</em>
<em>Arrêtons de béatifier toutes les Mères sans retenue, d'excuser leurs extrêmes, d'accepter leurs outrances, de compenser leur égoïsme, de supporter leurs insuffisances. Pour une fois, cessons de tolérer leurs nuisances répétées, de respecter l’« irrespectable », contrarions l’évidente sanctification systématique de nos Mères. Pour une fois, osons le non-conformisme. Soyons des enfants ou des témoins impertinents,incorrects et critiques. Place à la rébellion, à la contestation des Mères, et faisons aujourd’hui leur fête à celles qui, par leurs paroles perverses et leurs actions déficientes, ne devraient pas s'autoriser le nom de Mère, de Grand-Mère ou même de Belle-Mère. Et n’enfilons pas des nouilles pour leur tresser un collier mensonger.</em></p>
<pre></pre>
<p><strong>EXTRAIT DU COMMENTAIRE DE Martine Lévesque :</strong></p>
<p><em>Martine Magnin a un talent pour captiver le lecteur, sa plume est facile à lire, même le sujet qu’elle a choisi pour ces portraits de la maternité. Cette lecture m’a fait passer par différentes émotions. On retrouve dans les livres de Martine Magnin, sa douceur, sa lucidité et sa sensibilité. J’ai aimé les portraits des mères qu’elle fait dans ce recueil, dans ses nouvelles, elle ne juge pas la maternité, ou la mère, ou la matriarche, mais dresse des nouvelles logiques de certaines nuances de la maternité, de différents degrés d’attachements et de responsabilités vécues par certaines femmes.</em>
<em>C’est un recueil bien écrit, Martine Magnin a un talent de conteuse et elle joue avec les mots, et les métaphores à la perfection. Les portraits qui sont tracés de la mère alcoolique, sacrifiée, démissionnaire, autoritaire, froide, amère, exigeante, perverse, contrôlante, désorganisée, fusionnelle, distante, etc. Ces nouvelles sont de la fiction, mais certains portraits sont difficiles à lire, j’ai ressenti beaucoup d’émotions, peut-être parce que je suis une mère.</em>
<em>Je vous recommande ce recueil, Colliers de nouilles qui sera, vous plaire, par son authenticité et sa puissance. </em></p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/03/colliers-de-nouilles-martine-magnin-jdh-editions-par-martine-levesque.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail</p>
<h3>Je vous invite à découvrir le dernier ouvrage de Martine :</h3>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Martine_-page-001.jpg" title="CP Martine -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Martine_-page-001_m.jpg" alt="CP Martine -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Martine -page-001.jpg, fév. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT:</strong></p>
<p><em>Un sinistre jour de mars, une petite assemblée sombre aux traits bouffis, habits de tristesse et de colère…</em>
<em>Les jumelles sont arrivées de Londres dès le lendemain de son décès. Les paupières gonflées, le blanc des yeux veiné de rouge par l’excès de larmes et le manque de sommeil, et le visage gris tout fripé d’horreur. On les sentait murées sur elles-mêmes, écrasées par un énorme chagrin, totalement choquées, mais en même temps vibrantes et habitées d’une colère rentrée contre leur père à qui elles refusèrent d’adresser la parole et le moindre regard. On pouvait s'y attendre. Antoine et moi avons trouvé ce rejet et cette tension entre eux compréhensibles, mais excessifs, comme un supplément inutile de douleur.Fidèlement à ses dernières volontés, très nettement exprimées, l’enterrement s’est déroulé dans une intimité et une sobriété totale. Un chagrin énorme nous accablait et nous semblait insurmontable. Doris, qui aimait tant les fleurs et l’amitié, avait bien précisé dans sa lettre au notaire l’organisation minimaliste qu’elle exigeait pour ses obsèques : ni prières, ni bénédictions, ni fleurs, ni d’autres amis que nous. Donc seules présences souhaitées : ses filles, ses fausses jumelles d’amour, nous deux et, pour être précis, surtout pas son ex-mari. Aucune concession, aucun compromis, après une mort brutale, un service funéraire d’une sobriété sévère et un deuil insoutenable.</em>
<em>Nous reconnaissons ici son caractère entier et volontaire. Il n’était pas question d'atténuer la violence de ce moment par des faux-semblants confortables et des arrangements polis. Doris ne s’était pas arrangée de la situation créée par Max ; nous ne nous arrangerons pas de sa disparition en la camouflant sous de douces fioritures. Telles étaient ses dernières et fermes volontés.</em>
<em>Mais Max est venu tout de même. Sa démarche était hésitante et vacillante. Le visage blême et les yeux pleins de larmes, il avait l’air terriblement gêné et totalement anéanti. Se fondant presque avec les stèles de pierre, il est resté prudemment à l’écart et personne ne lui a adressé la parole. Il portait son écharpe chinée grise, sa préférée. Une des plus anciennes que je lui ai tricotées. Quand Antoine a aperçu au loin son vieux copain, il a eu un bref réflexe instinctif pour se porter vers lui, puis il s’est retenu, figé dans le doute et dans sa fidélité à notre amie. Ce fut un moment extrêmement gênant.</em></p>
<p>.........LA SUITE A DECOUVRIR ......</p>
<p><strong>EXTRAIT du commentaire de Martine Lévesque (que je remercie) :</strong></p>
<p><em>Martine Magnin a le talent de donner vie à ses mots, à la lecture de ce récit, je me sentais acteur de l’histoire de Pauline et Antoine. Elle a écrit un roman très émouvant, captif, sensible, de simplicité et d’humanité. Comme à son habitude, Martine Magnin nous offre une poésie qui nous relate la vie de personnages attachants et marquants. À l’ombre des saules en pleurs, propose un hymne, un chant, et même une louange qui dégage une sérénité, une tendresse et une douceur. C’est une agréable lecture qui m’a marqué, Martine Magnin réussit toujours à venir puiser au fond de moi des sentiments, des émotions intenses qui font que c’est un privilège de lire son roman.</em></p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/03/a-l-ombre-des-saules-en-pleurs-martine-magnin-editions-fauves-par-martine-levesque.html?fbclid=IwAR1o7632mUlpgBOvsk2tly_5S1OfXGHy2xQe6TUZT1_4pCCBFVqJ4FOBPQk</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Martine_-_Bien_mal_acquis-page-001.jpg" title="CP Martine - Bien mal acquis-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Martine_-_Bien_mal_acquis-page-001_m.jpg" alt="CP Martine - Bien mal acquis-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Martine - Bien mal acquis-page-001.jpg, fév. 2020" /></a></p>
<p><strong>Le commentaire de Nathalie : COUP DE COEUR!</strong> :</p>
<p>Un très beau roman qui dès le début nous rentre direct dans le cœur.
Comment un triste événement peut-il changer la vie de trois personnes et leurs familles, malgré le fait qu'ils ne se connaissent pas du tout.
Et pourtant tout débute un an après le décès de Raymond Cornille et l'incendie (criminel?) de son garage. À tour de rôle, ils nous relaterons les répercussions de ce triste événement sur leur vie. Tout commence avec Régis La Caisse qui rachète le garage incendié. En faisant du ménage, il découvre une caisse emplie d'argent et une cassette enregistrée par Raymond qui raconte toute son histoire, ses peurs et sa peine.
Malheureusement, l'argent est sale alors que faire. Il finira par en parler à sa femme Corinne qui sera de très bon conseil.
Puis arrive Hortense, la jumelle de Mathilde, femme de Raymond, décédée accidentellement un peu avant son mari. Elle recueille les filles du couple avec amour. D'une famille de 4, les voilà maintenant 6. Par chance, les enfants s'entendent très bien. On les suit dans leur nouvelle vie à travers les hauts et les bas d'un deuil.
Hortense parle souvent à sa sœur. Ils commencent à remonter la pente jusqu'au jour où un autre malheur frappe à leur porte. Comme on dit un malheur, n'arrive jamais seul. Par chance, Hortense est entourée de l'amour de ses enfants et de sa bonne Mimi.
Puis Henri, le mari d'Hortense pas très présent puisqu'il voyage pour son travail.
Et pourtant, il sera une des pierres dans les jardins d'Hortense.
Enfin Monsieur Fernand l'agent d'assurance qui s'était occupé du dossier Raymond et qui malgré sa retraite traîne encore des remords pour ce dossier mal ficelé.
Il arrive dans la vie de Régis et Hortense, par hasard, par curiosité ou simplement en passant, mais le plus important, c'est qu'il arrive au bon moment pour être une bonne oreille. Un ange gardien, un ami, un papi presqu'un sauveur. Mais surtout un homme au grand cœur.
Je ne vous en dis pas plus, car il faut le lire pour la vivre cette belle histoire qui pourtant commence sur une note plutôt sombre.
Avec sa plume, l'autrice nous fait sourire, rire, soupirer, et même grogner.
Un roman où se mêle l'humour, l'angoisse, la peur et les doutes. Mais un roman qui nous démontre que les gens bien intentionnés existent encore et parfois, il suffit juste de creuser un peu. Car rendre les gens heureux autour de soi ça fait toujours du bien.</p>
<p><strong>La suite à lire sur le blog</strong></p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/03/bien-mal-acquis-martine-magnin-la-nouvelle-plume-edition-par-nathalie-courchesne.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail</p>
<p>Du même auteur :</p>
<p>- Faîtes vos vœux, Ed. Evidence
- 15 Nuances de mères, Ed. JDH`
- Bien mal acquis…, Ed Nouvelles Plumes
- Le baiser de Gustav, Ed. Pierre Philippe
- Le Confort de l’Autruche, Ed Fauves</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Martine-page-001_Avril.jpg" title="CP Martine-page-001 Avril.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Martine-page-001_Avril_m.jpg" alt="CP Martine-page-001 Avril.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Martine-page-001 Avril.jpg, avr. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT de la préface de Dominique Lebel:</strong></p>
<p><em>Et si nos souhaits étaient nos dernières volontés ? Avec malice et bonhomie, avec brio aussi, Martine Magnin se lance dans la collecte de nos souhaits : Nous allons faire vivre nos mots pour que vivent nos rêves à n'en plus finir. Telle est l'ambition de ce petit livre plein d'humour, de fantaisie, d'optimisme et d'humilité. Tel est le défi de ces pages : lancer au ciel (ou dans le nuage d'Internet, mais on peut rêver) une boule de souhaits, une boule de neige de désirs plus ou moins fous -un grand cri d'humanité imparfaite, mais si aimable, entre nous. Vous allez donc lire ce livre et vous y reconnaître, forcément. Vous tomberez nez à nez avec des vœux que vous connaissez bien : que votre banque arrête de vous appeler, que votre époux arrête de râler, que votre voisin fasse la grasse matinée. Vous verrez passer aussi quelques bons vieux rêves : la résurrection de l'abbé Pierre, devenir enfin votre meilleur ami, mourir comme ça, sans préavis. Vous souriez ? Vous allez pleurer aussi, car certains vœux sont bouleversants.</em>
<em>Vous vous souvenez d'Ulysse ? Elle dit, et moi, l'esprit troublé, je veux saisir l'âme de ma mère ; trois fois, je m'élance, et mon cœur désire la saisir, trois fois elle s'échappe de mes mains comme une ombre ou comme un songe. Mais vous vous en remettrez, ce livre n'est pas là pour vous attrister, il est là pour vous proposer quelques jolies phrases à porter à votre cou, comme disait le poète. Celle-là par exemple : Chanter a capella nos aspirations jusqu'à ce que Jupiter se retourne. Et en attendant, parce que pour Jupiter ce n'est pas demain la veille – en attendant, mais où est passé le vœu de chasteté ?</em></p>
<p><strong>EXTRAIT de la chronique de Lyane :</strong></p>
<p><em>Martine Magnin a écrit un roman qui se lit facilement parce qu’il est excellent sur la forme et sur le fond, il y a de la vie à chaque page. Merci pour les délicieux moments passés sur cette île majestueuse et je suis impatiente de découvrir le prochain.</em></p>
<p>https://www.facebook.com/notes/lyane-a-autour-des-mots/chronique-lyane-a/201619587948590/</p>
<h3>Vous pouvez retrouver Martine Magnin sur sa page FB.</h3>Dorian GARUZurn:md5:12db14c82b6898976f30254db45053d12020-11-06T10:49:00+00:002020-11-06T10:49:00+00:00Marika DauresArticles auteursDorianGaruz <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Dorian_GARUZ_CP.JPG" title="Dorian GARUZ CP.JPG"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Dorian_GARUZ_CP_m.jpg" alt="Dorian GARUZ CP.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="Dorian GARUZ CP.JPG, nov. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/FICHE_ANIMATION_Dorian-page-001.jpg" title="FICHE ANIMATION Dorian-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.FICHE_ANIMATION_Dorian-page-001_m.jpg" alt="FICHE ANIMATION Dorian-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="FICHE ANIMATION Dorian-page-001.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Capture-d_ecran-2020-06-25-a-09.43.41.png" title="Capture-d’écran-2020-06-25-à-09.43.41.png"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Capture-d_ecran-2020-06-25-a-09.43.41_m.png" alt="Capture-d’écran-2020-06-25-à-09.43.41.png" style="display:table; margin:0 auto;" title="Capture-d’écran-2020-06-25-à-09.43.41.png, nov. 2020" /></a></p>
<p><strong>Le commentaire de Lynda :</strong>
<em>Un tout petit livre, très bien illustré, qui ne pourra pas faire autrement que de plaire aux touts-petits, même sans savoir lire. </em>
<em>Une belle leçon d'amitié au départ, et pour montrer que bien souvent les choses ne sont pas comme nous le voudrions, mais qu'elles peuvent toujours finir par s'arranger.</em></p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/10/l-anniversaire-du-crocodile-baxter-editions-astrocoons-par-lynda-massicotte.html</p>Gérard ANSALONIurn:md5:e53b21fdbfce5da7b20d81e73396146e2020-11-06T10:33:00+00:002020-11-06T10:33:00+00:00Marika DauresArticles auteursAnsaloni <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Gerard_Ansaloni-page-001.jpg" title="CP Gérard Ansaloni-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Gerard_Ansaloni-page-001_m.jpg" alt="CP Gérard Ansaloni-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Gérard Ansaloni-page-001.jpg, nov. 2020" /></a></p>
<p>« Histoire d’un langage, histoire de la poésie, du vers J’ai labouré jusqu’aux étoiles rassemble dans un même poème les gerbes restées debout des chansons que les hommes aiment à se dire au travers des âges et la livraison que j’en ai faite durant mon stage sur notre jolie planète. »- Jacques Ansaloni-</p>
<p>https://www.occitanie-tribune.com/articles/25134/j-ai-laboure-jusqu-aux-etoiles-gerard-ansaloni
https://www.herault-direct.fr/articles/25134/j-ai-laboure-jusqu-aux-etoiles-gerard-ansaloni
https://www.eurotribune.fr/articles/25134/j-ai-laboure-jusqu-aux-etoiles-gerard-ansaloni</p>Marc GERVAISurn:md5:4c29912ddd94d8418fc416f4a3e9cc452020-11-06T08:53:00+00:002020-11-06T09:39:33+00:00Marika DauresArticles auteursGervais <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Capture_Gervais.JPG" title="Capture Gervais.JPG"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Capture_Gervais_m.jpg" alt="Capture Gervais.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="Capture Gervais.JPG, nov. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE__Marc_2-page-001.jpg" title="AFFICHE Marc 2-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE__Marc_2-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE Marc 2-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE Marc 2-page-001.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_4_Marc_-page-001.jpg" title="AFFICHE 4 Marc -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_4_Marc_-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE 4 Marc -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE 4 Marc -page-001.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_5_Marc-page-001.jpg" title="AFFICHE 5 Marc-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_5_Marc-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE 5 Marc-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE 5 Marc-page-001.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_Marc_2_-page-001.jpg" title="AFFICHE Marc 2 -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_Marc_2_-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE Marc 2 -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE Marc 2 -page-001.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_Marc_-page-001.jpg" title="AFFICHE Marc -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_Marc_-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE Marc -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE Marc -page-001.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-14-09-2020-09-54-13.jpg" title="pixiz-14-09-2020-09-54-13.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-14-09-2020-09-54-13_m.jpg" alt="pixiz-14-09-2020-09-54-13.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-14-09-2020-09-54-13.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-14-09-2020-09-54-53.jpg" title="pixiz-14-09-2020-09-54-53.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-14-09-2020-09-54-53_m.jpg" alt="pixiz-14-09-2020-09-54-53.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-14-09-2020-09-54-53.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-14-09-2020-09-55-36.jpg" title="pixiz-14-09-2020-09-55-36.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-14-09-2020-09-55-36_m.jpg" alt="pixiz-14-09-2020-09-55-36.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-14-09-2020-09-55-36.jpg, sept. 2020" /></a>
<a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-14-09-2020-09-58-08.jpg" title="pixiz-14-09-2020-09-58-08.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-14-09-2020-09-58-08_m.jpg" alt="pixiz-14-09-2020-09-58-08.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-14-09-2020-09-58-08.jpg, sept. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT du livre:</strong></p>
<p>Faites entrer l’accusée ?</p>
<p>À vingt ans, on est immortel. Du moins, on le croit. On n’imagine pas avoir quarante ans ni ressembler un jour à sa grand-mère. On se lève, on balbutie, on s’endort. Rien ne peut arriver, l’avenir est abstrait, le futur se borne aux échéances immédiates : une fête, un examen, un rendezvous. Notre existence se résume à l’instant, on ne se projette pas, on mémorise le passé pour retenir l’essentiel : un regard, un baiser, une caresse. Le cœur battant, le fard aux joues, le souffle court, on s’affranchit des interdits. On aimerait être plus âgée, grandir plus vite, mais surtout ne pas vieillir. On passe des heures devant un miroir, on se déteste, on envie la silhouette de sa meilleure ennemie. Puis on franchit le cap qui autorise à être de mauvaise humeur cinq jours par mois : l’enfance s’éloigne. Notre corps prend forme : on part à sa découverte, seule ou sur les conseils d’une copine.
On s’observe, et on exècre ce qui est toujours trop ou pas assez. Ensuite, on ne comprend plus rien : les parents deviennent stupides, sourds, ou aveugles. On pleure d’être incomprise, mais on adore être regardée. Un copain, un voisin, un cousin ? Peu importe, on redevient l’objet de toutes les attentions. En fait, ce qui précède ne vaudrait pas la peine d’être exposé, si ma vie n’avait pas basculé en une fraction de seconde. En réalité, le terme est impropre. Monexistence n’a pas été secouée par un mouvement de balancier, les murs ne se sont pas lézardés. Je ne suis pas passée de la lumière à l’ombre, du bonheur à l’incompréhension, ou du rire aux larmes. Ce fut pire, je n’ai rien vu venir. En un instant, la nuit s’est exonérée des contraintes du temps, le sol s’est ouvert, la terre m’a engloutie. Sur un mot, une réprimande, ou une lettre anonyme, la haine m’a emportée.
Plus tout à fait adolescente ni tout à fait femme, je n’étais pas prête à être catapultée dans un univers où rien ne prédispose une fille à subir ce que l’on m’a infligé.</p>
<p>J’ai vingt ans.</p>
<p>Étant appelé à me juger, votre tâche s’annonce périlleuse et vous risquez d’être déçu : je suis banale, ordinaire, dramatiquement quelconque. Hormis un prénom dont on m’a affublé à une époque où toutes les filles s’appelaient Céline, Aurélie ou encore Virginie, vous ne décèlerez chez moi aucune originalité, aucun traumatisme ni stigmate qui me disculperaient. Je n’ai aucune excuse : je suis née dans l’un des plus beaux quartiers de Paris. Donc loin de la Vologne et du petit Grégory Je n’ai pas de circonstances atténuantes ! Je ne suis pas le produit d’un acte incestueux, d’un plan cul à l’arrière d’une voiture, ou la conséquence d’une pilule oubliée. Après une grossesse difficile, ma mère a même renoncé à sa carrière pour s’occuper de moi. Pendant près de vingt ans, j’ai cru être une fille unique dans tous les sens du terme jusqu’à ce que les flics américains m’immergent dans les secrets sordides d’une famille décomposée.</p>
<p><strong>Merci à Lynda Massicotte pour ce beau retour et son "coup de coeur":</strong></p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/10/la-fiancee-du-11-septembre-marc-gervais-igb-editions-par-lynda-massicotte.html
<em>Attention, je vous mets en garde, si vous commencez cette lecture attendez-vous à ne pas pouvoir refermer le livre avant d'avoir terminé, ce qui veut dire quelques heures de sommeil en moins, c'est ce qui m'est arrivé.</em></p>Chantale et Rejeanurn:md5:ccb3499baee0ccfb19b7ea366e59443b2020-10-16T12:49:00+01:002020-10-16T12:49:00+01:00Marika DauresArticles auteursChantaleRéjean <h3>Du Canada !</h3>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Main_Noire_-page-001.jpg" title="CP Main Noire -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Main_Noire_-page-001_m.jpg" alt="CP Main Noire -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Main Noire -page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_CHANTAL_et__REJEAN_-page-001.jpg" title="CP CHANTAL et REJEAN -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_CHANTAL_et__REJEAN_-page-001_m.jpg" alt="CP CHANTAL et REJEAN -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP CHANTAL et REJEAN -page-001.jpg, sept. 2019" /></a></p>
<p>https://www.youtube.com/watch?v=ssnd3-EiB5k&feature=youtu.be</p>Christophe COQUINurn:md5:fd44dc5c24c6d7b363d81292a58b623a2020-10-16T07:28:00+01:002020-10-16T07:28:00+01:00Marika DauresArticles auteursCOQUINCoquin <h4>Une page entière consacré au livre de Christophe et de son personnage VIKTOR KURT, dans le numéro du 20 septembre GENTLEMEN BELGIUM....réservez de suite votre exemplaire !!! sinon contacter Christophe Coquin Auteur</h4>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/118562431_313794303189950_1221660308441721174_o.jpg" title="118562431_313794303189950_1221660308441721174_o.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.118562431_313794303189950_1221660308441721174_o_m.jpg" alt="118562431_313794303189950_1221660308441721174_o.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="118562431_313794303189950_1221660308441721174_o.jpg, sept. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Christophe-_dans_le_cerveau_la_mort_-page-001.jpg" title="CP Christophe- dans le cerveau la mort -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Christophe-_dans_le_cerveau_la_mort_-page-001_m.jpg" alt="CP Christophe- dans le cerveau la mort -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Christophe- dans le cerveau la mort -page-001.jpg, sept. 2020" /></a><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-24-07-2020-17-45-2.2.jpg" title="pixiz-24-07-2020-17-45-2.2.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-24-07-2020-17-45-2.2_m.jpg" alt="pixiz-24-07-2020-17-45-2.2.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-24-07-2020-17-45-2.2.jpg, août 2020" /></a><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_CHRISTOPHE_COQUIN-page-001.jpg" title="CP CHRISTOPHE COQUIN-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_CHRISTOPHE_COQUIN-page-001_m.jpg" alt="CP CHRISTOPHE COQUIN-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP CHRISTOPHE COQUIN-page-001.jpg, fév. 2020" /></a></p>
<p><strong>EXTRAIT du retour de chronique :</strong>
Je conseille ce thriller à tout le monde car il est simple et beau à la fois. L'auteur a su trouver les bons ingrédients pour en faire un magnifique roman bien construit du début à la fin, le lecteur se régale et c'est ce qu'on attend d'un tel livre. N'hésitez plus!</p>
<p>Merci à Maryline pour ce retour de chronique. (PJ) http://leslecturesdemaryline.eklablog.com/internes-a201676060</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/41v1p6lIHnL.jpg" title="41v1p6lIHnL.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.41v1p6lIHnL_m.jpg" alt="41v1p6lIHnL.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="41v1p6lIHnL.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-24-07-2020-18-04-40.jpg" title="pixiz-24-07-2020-18-04-40.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-24-07-2020-18-04-40_m.jpg" alt="pixiz-24-07-2020-18-04-40.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-24-07-2020-18-04-40.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/pixiz-24-07-2020-18-03-45.1.jpg" title="pixiz-24-07-2020-18-03-45.1.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.pixiz-24-07-2020-18-03-45.1_m.jpg" alt="pixiz-24-07-2020-18-03-45.1.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="pixiz-24-07-2020-18-03-45.1.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.1ER_COUV_COQUIN_m.jpg" alt="1ER COUV COQUIN.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="1ER COUV COQUIN.jpg, fév. 2019" /></p>
<p>Avis de lecture : https://wcassiopee.blogspot.com/2019/02/faut-il-te-pardonner-de-christophe.html</p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_CHRISTOPHE_COQUIN_m.jpg" alt="CP CHRISTOPHE COQUIN.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP CHRISTOPHE COQUIN.jpg, fév. 2019" /></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_CHRISTOPHE-page-001.jpg" title="AFFICHE CHRISTOPHE-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_CHRISTOPHE-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE CHRISTOPHE-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE CHRISTOPHE-page-001.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><strong>Avis de lecture :</strong></p>
<p><em> "Quelle lecture, je viens de terminer, un énorme merci à Christophe Coquin de partager l’histoire de sa vie avec nous. Un vibrant témoignage sur la figure maternelle manquante, qu’a subi cet enfant, adolescent, jeune adulte, adulte tout au long"...</em></p>
<p><strong>La suite ici :</strong>
http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2019/02/faut-il-te-pardonner-christophe-coquin-editions-lulu.com-distribue-par-marika-communications-par-martine-levesque.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail</p>
<p><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Cap1_m.jpg" alt="Cap1.JPG" style="display:table; margin:0 auto;" title="Cap1.JPG, avr. 2019" /></p>
<p><strong>Avis de lecture :</strong>
<em> "Victor Kurt a un passé qui est complexe, ayant vécu un drame, ancien dépendant de drogues dures, victime de fréquente perte de mémoire, différentes séquelles d’un traumatisme, etc. Un homme qui porte un fardeau assez teinté de tristesse, de solitude et de nostalgie. Dans les enquêtes qu’il va mener, les victimes auront"...</em></p>
<p><strong>La suite ici :</strong>
http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2019/03/internes-une-enquete-de-viktor-kurt-christophe-coquin-auto-edition-par-martine-levesque.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail</p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Christophe-page-001.jpg" title="CP Christophe-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Christophe-page-001_m.jpg" alt="CP Christophe-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Christophe-page-001.jpg, janv. 2020" /></a></p>
<p>Une chronique de Cassiopée....</p>
<h5>EXTRAIT: Ce roman se lit d’une traite, l’écriture fluide et accrocheuse de l’auteur y est pour beaucoup mais les rouages de l’intrigue sont un deuxième point fort ainsi que le caractère atypique de Viktor. Christophe Coquin maîtrise à la perfection l’aspect « caméléon » de son principal protagoniste. Il en joue habilement, entraînant le lecteur à sa suite. J’ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture, attendant avec impatience les dernières révélations pour cerner et comprendre toute l’affaire…</h5>
<p>http://unpolar.hautetfort.com/archive/2019/12/30/on-n-enterre-jamais-nos-morts-de-christophe-coquin-6201706.html</p>
<p>https://wcassiopee.blogspot.com/2019/12/on-nenterre-jamais-nos-morts-de.html</p>
<p>http://www.partagelecture.com/t25792-coquin-christophe-on-n-enterre-jamais-nos-morts</p>
<h5></h5>
<p>Pour découvrir en images, le résumé de « On n’enterre jamais nos morts » , il ne vous reste plus qu’à cliquer sur le lien ci-dessous ou de faire un copier-coller :
https://www.youtube.com/watch?v=Nh4YUgwZmDI</p>
<h4>Merci à Cassiopée pour ce retour de chronique :</h4>
<p><strong>EXTRAIT de la critique:</strong></p>
<p>Christophe Coquin monte en puissance. Son écriture est plus mature, encore plus addictive, son style s'épure, porte « sa marque ». Son récit ne contient ni longueurs, ni temps morts. J'ai plongé dans cette nouvelle aventure de Viktor Kurt en me demandant si j’allais être surprise ou si cette histoire aurait un goût de « déjà vu »….et bien, chapeau bas, je suis restée scotchée aux pages et je n'ai pas vu le temps passer !</p>
<p>http://unpolar.hautetfort.com/archive/2020/08/10/dans-le-cerveau-la-mort-de-christophe-coquin-6256748.html</p>
<p><strong>Mon avis :</strong></p>
<p>Viktor Kurt est un personnage récurrent de Christophe Coquin mais ce livre peut se lire indépendamment des précédents. Les quelques allusions au passé de cet homme sont discrètes ou suffisamment expliquées pour que le lecteur comprenne ce qu’il en est. Viktor vit, assez retiré, à Bruxelles. Souffrant de photophobie, il sort peu. En outre, il est insondable, ne créant que peu de liens, il vit les événements avec une distance émotionnelle importante. Il refuse de s’embarrasser de verbiages inutiles dans ses relations aux autres et va droit au but, sans fioritures, sans y « mettre les formes » et cela lui pose de nombreux problèmes. Il en est conscient mais refuse de changer, après tout, si cela ne convient pas à ses interlocuteurs, qu’ils aillent voir ailleurs…. Il a donc peu d’amis mais il leur est fidèle, les aidant dès qu’ils appellent au secours.</p>
<p>https://wcassiopee.blogspot.com/2020/08/dans-le-cerveau-la-mort-de-christophe.html</p>
<p>www.christophe-coquin.com</p>
<p>http://unpolar.hautetfort.com/archive/2020/08/10/dans-le-cerveau-la-mort-de-christophe-coquin-6256748.html</p>
<p>https://wcassiopee.blogspot.com/2020/08/dans-le-cerveau-la-mort-de-christophe.html</p>
<p>https://www.partagelecture.com/t26600-coquin-christophe-dans-le-cerveau-la-mort</p>Thierry DOREurn:md5:cb7e2600199ad5337be9aadeb71ee6842020-10-07T08:56:00+01:002020-10-07T15:12:59+01:00Marika DauresArticles auteursDOREDoré <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Thierry_Dore-page-001.jpg" title="CP Thierry Doré-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Thierry_Dore-page-001_m.jpg" alt="CP Thierry Doré-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Thierry Doré-page-001.jpg, sept. 2020" /></a></p>
<p>https://www.luciensouny.fr/auteur/thierry-dore/</p>
<p>https://www.youtube.com/watch?v=WGdyeTmp4QE</p>
<p>https://www.occitanie-tribune.com/articles/25302/pulsions-de-vie-thierry-dore</p>
<p>https://www.herault-direct.fr/articles/25302/pulsions-de-vie-thierry-dore</p>
<p>https://www.eurotribune.fr/articles/25302/pulsions-de-vie-thierry-dore</p>
<p>http://www.thierrydore.com/</p>Corinne ALBAUTurn:md5:620f32f109f7d5e0d96d174ee96846f52020-10-01T08:34:00+01:002020-10-01T08:34:00+01:00Marika DauresArticles auteurs <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Bonjour_Paris_-page-001.jpg" title="CP Bonjour Paris -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Bonjour_Paris_-page-001_m.jpg" alt="CP Bonjour Paris -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Bonjour Paris -page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Fiche_argu_Ed_sabot_Rouge_Bonjour_Paris.sacrecoeur_-V2-page-001.jpg" title="Fiche argu Ed sabot Rouge_Bonjour Paris.sacrécœur -V2-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Fiche_argu_Ed_sabot_Rouge_Bonjour_Paris.sacrecoeur_-V2-page-001_m.jpg" alt="Fiche argu Ed sabot Rouge_Bonjour Paris.sacrécœur -V2-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Fiche argu Ed sabot Rouge_Bonjour Paris.sacrécœur -V2-page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/Fiche_argu_Ed_sabot_Rouge_Bonjour_Paris.sacrecoeur_-V2-page-002.jpg" title="Fiche argu Ed sabot Rouge_Bonjour Paris.sacrécœur -V2-page-002.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.Fiche_argu_Ed_sabot_Rouge_Bonjour_Paris.sacrecoeur_-V2-page-002_m.jpg" alt="Fiche argu Ed sabot Rouge_Bonjour Paris.sacrécœur -V2-page-002.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="Fiche argu Ed sabot Rouge_Bonjour Paris.sacrécœur -V2-page-002.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-001.jpg" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-001_m.jpg" alt="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-001.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-004.jpg" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-004.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-004_m.jpg" alt="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-004.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-004.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-006.jpg" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-006.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-006_m.jpg" alt="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-006.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-006.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-016.jpg" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-016.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.REVUE_DE_PRESSE_LES_EDITIONS_DU_SABOT_ROUGE-page-016_m.jpg" alt="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-016.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="REVUE DE PRESSE LES EDITIONS DU SABOT ROUGE-page-016.jpg, oct. 2020" /></a></p>
<p>https://sabotrouge.fr/</p>Martine CARIGNANurn:md5:4b5b0ce71e77836ecd36b3433de602e42020-09-28T14:45:00+01:002020-09-28T14:45:00+01:00Marika DauresArticles auteursCarignan <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_la_Sorbonne-page-001.jpg" title="AFFICHE la Sorbonne-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_la_Sorbonne-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE la Sorbonne-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE la Sorbonne-page-001.jpg, sept. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Martine_Carignan_Lagny__2_-page-001.jpg" title="CP Martine Carignan Lagny (2)-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Martine_Carignan_Lagny__2_-page-001_m.jpg" alt="CP Martine Carignan Lagny (2)-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Martine Carignan Lagny (2)-page-001.jpg, août 2020" /></a></p>
<p>Dans ce récit-roman de Martine Carignan, c'est un peu d'elle-même qu'elle nous livre à travers cette histoire.
Cette lecture est touchante, on alterne entre le passé de Rachel et l’aujourd’hui, on traverse les moments difficiles pour Rachel, son incapacité à avoir un enfant, un amour à sens unique, l'amour avec un <em>oncle</em> le conjoint de sa tante, etc. Et puis la maladie qui s'en mêle à un certain moment.
L'auteure nous fait traverser la vie de Rachel. À travers les mots de l'auteure, on vit des émotions, de la tristesse, de la colère contre ce copain avec qui elle vit et la bat, on sent son désespoir également, et les petits regains de vie qui lui arrivent pendant son voyage. Mais est-ce que tout ça sera suffisant pour la détourner de son projet ultime ? Pour le savoir vous devrez lire et surtout vivre avec Rachel ce qu'elle vit et a vécu !</p>
<p>http://lesmilleetunlivreslm.over-blog.com/2020/08/je-le-ferai-demain-martine-carignan-editions-martine-carignan-distribue-par-marika-daures-communications-par-lynda-massicotte.html?utm_source=_ob_email&utm_medium=_ob_notification&utm_campaign=_ob_pushmail</p>Nathalie GENESTurn:md5:df0893b2fa562f9a06bcb74acad9ad912020-09-28T14:40:00+01:002020-09-28T14:40:00+01:00Marika DauresArticles auteursGenest <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/AFFICHE_la_Sorbonne-page-001.jpg" title="AFFICHE la Sorbonne-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.AFFICHE_la_Sorbonne-page-001_m.jpg" alt="AFFICHE la Sorbonne-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="AFFICHE la Sorbonne-page-001.jpg, sept. 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_Nathalie_GENEST-page-000.jpg" title="CP Nathalie GENEST-page-000.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_Nathalie_GENEST-page-000_m.jpg" alt="CP Nathalie GENEST-page-000.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP Nathalie GENEST-page-000.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/thumbnail_Cover_MoiRebelleetMagique_web_1024x1024.jpg" title="thumbnail_Cover_MoiRebelleetMagique_web_1024x1024.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.thumbnail_Cover_MoiRebelleetMagique_web_1024x1024_m.jpg" alt="thumbnail_Cover_MoiRebelleetMagique_web_1024x1024.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="thumbnail_Cover_MoiRebelleetMagique_web_1024x1024.jpg, août 2020" /></a></p>
<p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/ANNONCE_Nathalie_Genest-page-001.jpg" title="ANNONCE Nathalie Genest-page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.ANNONCE_Nathalie_Genest-page-001_m.jpg" alt="ANNONCE Nathalie Genest-page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="ANNONCE Nathalie Genest-page-001.jpg, août 2020" /></a></p>WANDA KOMEZAurn:md5:aed4421456a3c58b8dea6f37d242200d2020-09-14T11:48:00+01:002020-09-14T11:48:00+01:00Marika DauresArticles auteursKomezawanda <p><a href="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/CP_WANDA_-page-001.jpg" title="CP WANDA -page-001.jpg"><img src="http://marikadaurescommunication.free.fr/public/.CP_WANDA_-page-001_m.jpg" alt="CP WANDA -page-001.jpg" style="display:table; margin:0 auto;" title="CP WANDA -page-001.jpg, sept. 2020" /></a></p>